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santé
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Fonds Willy Donzé

  • CH-001784-0 WDO
  • Fonds
  • 1922-2007

Ce fonds renseigne sur le réseau de Willy Donzé, sur les liens amicaux et professionnels qu’il entretenait, à travers la correspondance qui lui est adressée à l’occasion de ses élections à divers mandats politiques ou encore celle adressée à son épouse à l’occasion de son décès. Il donne également une bonne vision de la vie mondaine du politicien et de son épouse, grâce à la correspondance liée aux réceptions officielles et à celles organisées à domicile par Charlotte Donzé, que viennent compléter de nombreuses photographies de réceptions et de déplacements en tant que conseiller d’État. Cette importante collection photographique comprend aussi des clichés d’événements liés à d’autres mandats et dans une moindre mesure à la jeunesse de Willy Donzé. Par ailleurs, certains documents écrits concernent la vie privée du politicien, comme ceux relatifs à sa scolarité ou à ses obsèques.
Enfin, ce fonds témoigne de certaines activités de Willy Donzé en tant que conseiller administratif, conseiller aux États, parlementaire au Conseil de l’Europe, mais surtout en tant que conseiller d’État, principalement à travers de nombreuses coupures de presse.

Donzé, Willy

Apprendre la bonne distance

L'apprenti assistant en soins et santé communautaire (ASSC) et sa formatrice, pratiquant des soins à L’Hôpital de l’Enfance à Lausanne (HEL) ; séquences individuelles de l'apprenti et de la formatrice abordant à la formation professionnelle ainsi que les difficultés émotionnelles générées par cette dernière.

Dominicé, Katharine; réalisatrice

Ménage-toi - Emission 19.11.1986 (4ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l' accouchement à domicile en marge du Forum Naissance avec la doctoresse Françoise Berthoud, et le témoignage d'Alda de Giorgi, à un billet sur l'élévation de l'âge de la retraite des femmes, à une interview de Noemi Lapsezon à propos de son spectacle de danse "Lussa", à l'agenda social et culturel et à la place des vitamines et des sels minéraux dans l'alimentation (Durée totale: 02:05:41)

Résumé
Partie 4/4: rubrique de Jacqueline Berenstein-Wavre "Femmes et nourriture": le rôle des vitamines et des sels minéraux expliqués par la diététicienne Aline Robert (05:00-05:45, 06:15-13:10, 13:45-16:35), le menu de la semaine de Jacqueline Berenstein-Wavre commenté par Aline Robert (17:00-19:10), réalisation de l'émission par Alda de Giorgi et Marianne Aerni (20:50-21:00) rediffusion de l'émission vers 16h (22:05-22:15), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 19.11.1986 (3ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l' accouchement à domicile en marge du Forum Naissance avec la doctoresse Françoise Berthoud, et le témoignage d'Alda de Giorgi, à un billet sur l'élévation de l'âge de la retraite des femmes, à une interview de Noemi Lapsezon à propos de son spectacle de danse "Lussa", à l'agenda social et culturel et à la place des vitamines et des sels minéraux dans l'alimentation (Durée totale: 02:05:41)

Résumé
Partie 3/4: commentaire ironique de Marianne Aerni sur le projet d'élévation de l'âge de la retraite des femmes à 63 ans (00:20-01:35), interview de Noemi Lapsezon à propos de son spectacle de danse "Lussa" - Quand un homme est possédé par Lussa il devient lui-même un danseur de mort - qu'elle présente avec Armand Delanoé au Musée Rath puis à Lausanne (02:20-03:20, 03:55-07:10, 08:00-10:50, 12:05-15:05), appel aux auditrices à faire parvenir leurs questions et leurs informations (21:50-22:25), l'agenda culturel et social de Ménage-toi - entre autres: exposition de l'association d'artisanes Pénélopes au centre commercial Eaux-Vives 2000, soirée de contes du Kurdistan à la Traverse, questions sur le couple, le mariage et l'union libre par F-Information, Agenda des femmes 1987 consacré au travail ménager, Foyer pour femmes Arabelle à Onex (22:35-30:05), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 19.11.1986 (2ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l' accouchement à domicile en marge du Forum Naissance avec la doctoresse Françoise Berthoud, et le témoignage d'Alda de Giorgi, à un billet sur l'élévation de l'âge de la retraite des femmes, à une interview de Noemi Lapsezon à propos de son spectacle de danse "Lussa", à l'agenda social et culturel et à la place des vitamines et des sels minéraux dans l'alimentation (Durée totale: 02:05:41)

Résumé
Partie 2/4: suite de l'interview de la doctoresse Françoise Berthoud sur l' accouchement à domicile, la conception et les soins aux nourrissons (00:05-03:35, 09:30-09:50), témoignage d'Alda de Giorgi sur son accouchement à la maternité de Genève en 1984 en soins ambulatoires (12:30-16:55, 17:15-17:55, 18:05-19:30, 19:40-21:00, 21:15-22:20, 23:40-24:15), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 19.11.1986 (1ère partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l' accouchement à domicile en marge du Forum Naissance avec la doctoresse Françoise Berthoud, et le témoignage d'Alda de Giorgi, à un billet sur l'élévation de l'âge de la retraite des femmes, à une interview de Noemi Lapsezon à propos de son spectacle de danse "Lussa", à l'agenda social et culturel et à la place des vitamines et des sels minéraux dans l'alimentation (Durée totale: 02:05:41)

Résumé
Partie 1/4: présentation de l'émission (00:00-00:40), sommaire de l'émission, en compagnie de Alda de Giorgi et Marianne Aerni jusqu'à midi (02:40-04:15), interview de la doctoresse Françoise Berthoud sur l' accouchement à domicile, la conception et les soins aux nourrissons en marge du Forum naissance "Venir au monde aujourd'hui", organisé les 21, 22 et 23 novembre 1986 par l'association "Naissance action" (09:50-12:40, 12:55-16:30, 17:25-26:10, 27:00-30:25, 30:50-31:35), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (4e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (3e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (2e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (1ère partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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