[Catalogne: slogan antifasciste sur un train]
- LPI-D-09-02
- pièce
- [1936-1939]
Fait partie de Fonds Louis Piguet
Slogan antifasciste sur un train: "Todos contra el fascismo".
[inconnu]
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[Catalogne: slogan antifasciste sur un train]
Fait partie de Fonds Louis Piguet
Slogan antifasciste sur un train: "Todos contra el fascismo".
[inconnu]
[Catalogne: slogan peint sur un train]
Fait partie de Fonds Louis Piguet
Un homme peignant la façade d'un train du slogan "Camperol! Cuida la terra mentres els demies lluiten".
Dalty; photographe
Fait partie de Fonds Louis Piguet
Slogans antifascistes peints sur des trains.
Documents de la Jeunesse ouvrière chrétienne
Fait partie de Fonds Vicenta Aransay-Capellán
Procès-verbaux, bulletins (Inquietud Obrera, no 2, avril 1962; Jovenes obreros en la emigracion, no 1, juin 1963; Cara y cruz, février et mars 1964) des Jeunesses ouvrières chrétiennes de langue espagnole à Genève.
Interview de Manuel Gomez, serrurier-chaudronnier (3ème partie/3)
Fait partie de Collection d'enregistrements sonores
Interview d'un serrurier-chaudronnier, Manuel Gomez, par Alda de Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:42:54).
Période évoquée: 1958-1989 (principalement)
Aperçu des thèmes (Parties 1/3 à 3/3) :
Au cours de cet entretien, ce serrurier-chaudronnier né en Espagne en 1928 et employé à Sécheron entre 1958 et 1989 raconte son parcours. Engagé dans la lutte anti-franquiste, il quitte l'Espagne en 1958 pour des raisons politiques. Il raconte ses conditions de logement, et l'interdiction faite aux travailleurs soumis au permis A de louer un appartement non-meublé. Il décrit avec quelques détails son métier, les spécificités de ce travail et sa formation continue en soudure. Il explique les raisons de sa satisfaction avec sa vie professionnelle, notamment le fait qu'il ne faisait jamais la même activité plus de trois jours d'affilée. Il a été à la fois délégué syndical de la Fédération suisse de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH) et délégué à la commission d'entreprise. Il a participé à la revendication puis à la mise en place de cours du soir pour permettre aux ouvriers italiens, espagnols et frontaliers l'obtention d'un certificat de capacité (CFC) et l'égalité salariale pour un travail égal. Il parle du système de rémunération à la pièce, qui créait une concurrence malsaine entre ouvriers et de son refus de devenir chef d'équipe. Il prendra sa retraite avec trois ans d'avance pour des raisons de santé et de famille et reste membre du syndicat FTMH comme vétéran.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice
Interview de Manuel Gomez, serrurier-chaudronnier (2ème partie/3)
Fait partie de Collection d'enregistrements sonores
Interview d'un serrurier-chaudronnier, Manuel Gomez, par Alda de Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:42:54).
Période évoquée: 1958-1989 (principalement)
Aperçu des thèmes (Parties 1/3 à 3/3) :
Au cours de cet entretien, ce serrurier-chaudronnier né en Espagne en 1928 et employé à Sécheron entre 1958 et 1989 raconte son parcours. Engagé dans la lutte anti-franquiste, il quitte l'Espagne en 1958 pour des raisons politiques. Il raconte ses conditions de logement, et l'interdiction faite aux travailleurs soumis au permis A de louer un appartement non-meublé. Il décrit avec quelques détails son métier, les spécificités de ce travail et sa formation continue en soudure. Il explique les raisons de sa satisfaction avec sa vie professionnelle, notamment le fait qu'il ne faisait jamais la même activité plus de trois jours d'affilée. Il a été à la fois délégué syndical de la Fédération suisse de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH) et délégué à la commission d'entreprise. Il a participé à la revendication puis à la mise en place de cours du soir pour permettre aux ouvriers italiens, espagnols et frontaliers l'obtention d'un certificat de capacité (CFC) et l'égalité salariale pour un travail égal. Il parle du système de rémunération à la pièce, qui créait une concurrence malsaine entre ouvriers et de son refus de devenir chef d'équipe. Il prendra sa retraite avec trois ans d'avance pour des raisons de santé et de famille et reste membre du syndicat FTMH comme vétéran.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice
Interview de Manuel Gomez, serrurier-chaudronnier (1ère partie/3)
Fait partie de Collection d'enregistrements sonores
Interview d'un serrurier-chaudronnier, Manuel Gomez, par Alda de Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:42:54).
Période évoquée: 1958-1989 (principalement)
Aperçu des thèmes (Parties 1/3 à 3/3) :
Au cours de cet entretien, ce serrurier-chaudronnier né en Espagne en 1928 et employé à Sécheron entre 1958 et 1989 raconte son parcours. Engagé dans la lutte anti-franquiste, il quitte l'Espagne en 1958 pour des raisons politiques. Il raconte ses conditions de logement, et l'interdiction faite aux travailleurs soumis au permis A de louer un appartement non-meublé. Il décrit avec quelques détails son métier, les spécificités de ce travail et sa formation continue en soudure. Il explique les raisons de sa satisfaction avec sa vie professionnelle, notamment le fait qu'il ne faisait jamais la même activité plus de trois jours d'affilée. Il a été à la fois délégué syndical de la Fédération suisse de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH) et délégué à la commission d'entreprise. Il a participé à la revendication puis à la mise en place de cours du soir pour permettre aux ouvriers italiens, espagnols et frontaliers l'obtention d'un certificat de capacité (CFC) et l'égalité salariale pour un travail égal. Il parle du système de rémunération à la pièce, qui créait une concurrence malsaine entre ouvriers et de son refus de devenir chef d'équipe. Il prendra sa retraite avec trois ans d'avance pour des raisons de santé et de famille et reste membre du syndicat FTMH comme vétéran.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice
La Voix des vétérans - Emission 6 (2ème partie/2)
Fait partie de Collection d'enregistrements sonores
Emission de radio sur la guerre d'Espagne. (Durée totale: 00:58:66)
Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview de Henri Meyer, ouvrier du bâtiment, plombier, engagé dans les brigades internationales en 1936.
Compte rendu de l'exposition de Henri Capa au Musée de l'Elysée sur des photographies de la guerre d'Espagne.
Musique: chansons traduites en français de poèmes espagnols.
Réalisation: Christiane Wist.
La partie 2/2 commence par la suite de l'interview de Henri Meyer, de son quotidien sur le front en Espagne.
Wist, Christiane; animateur/trice
La Voix des vétérans - Emission 6 (1ère partie/2)
Fait partie de Collection d'enregistrements sonores
Emission de radio sur la guerre d'Espagne. (Durée totale: 00:58:66)
Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview de Henri Meyer, ouvrier du bâtiment, plombier, engagé dans les brigades internationales en 1936.
Compte rendu de l'exposition de Henri Capa au Musée de l'Elysée sur des photographies de la guerre d'Espagne.
Musique: chansons traduites en français de poèmes espagnols.
Réalisation: Christiane Wist.
La partie 2/2 commence par la suite de l'interview de Henri Meyer, de son quotidien sur le front en Espagne.
Wist, Christiane; animateur/trice
Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet (9ème partie/9)
Fait partie de Collection d'enregistrements sonores
Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 03:54:13).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)
Aperçu des thèmes (Parties 1/9 à 9/9):
Dans ce long et fourni entretien, Christiane Wist se fait raconter l'histoire de cette période des années 1920-1940 par Henri Tronchet qui participa à une série d'actions directes au sein de la Ligue d'action du Bâtiment (LAB) et fut secrétaire syndical jusqu'en 1955. Né en 1915, il raconte son parcours dans l'action syndicale et dans ses deux métiers principaux, maçon et typographe. Dans cet entretien, les interlocuteurs prennent le temps de la réflexion et de la distance par rapport aux récits, et s'attardent notamment sur le concept de chance. En effet, Henri Tronchet la considère comme centrale dans son parcours, ce qui lui fait dire « c'était peut-être ma chance d'avoir cru à ma chance ! ». Il décrit les actions menées pour la mise en place du système de reconnaissance de capacité pour les ouvriers qualifiés mais sans diplôme. Il explique les raisons pour lesquelles beaucoup d'ouvriers ne pouvaient se permettre d'acheter les produits des coopératives. Il décrit aussi l’ambiguïté dans la pratique des politiques de logement social. Il aborde la question des rapports de pouvoir et des comportements peu anarchistes de camarades anarchistes. Parmi de nombreux autres sujets, cet entretien traite aussi de la propagande par le fait, des enjeux de la caractérisation d'un acte comme "acte terroriste" et des séjours en prison.
Repérage des sujets principaux : (9ème partie/9)
00:00:00 à 00:00:37 : sur le dévouement, les grèves de 6-8 mois, peut-être un progrès qu'on n'arrive plus à faire ça.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice