Camionnette de la FOBB "Habitants de Genève […] appuyez les revendications pour l'amélioration des conditions de travail des ouvriers du bâtiment et du bois […]; manifestant-e-s avec banderoles FOBB en italien e.a. "Rivendichiamo appartamenti il cui prezzo d'affito sia proporzionato ai salari degli operai", "Non pui tragedie sul lavaro! Controllo piu afficace nelle imprese per evitare nuovi lutti"; drapeau italien (?); banderoles FOBB en espagnol, e.a. "Unidos Frente a la reaccion en España y en la emigracion", "Los trabajadores españoles por la unidad sindical", "Las mujeres espanolas pedimos amnistia escuelas y trabajo en nuestra patria"
Léon Nicole et Charles Rosselet semblent parmi les personnes à la tribune; drapeaux de la FOBB, du groupe espérantiste de Genève, du parti communiste? [1er Mai, Pa[…], Com[…]
Défilé du 1er Mai avec banderoles de la FOBB, e.a. "Pas d'amélioration sociale possible sans liberté de pensée, de parole, de presse", "Patrons, tenez votre promesse même sans loi - deux jours fériés supplémentaires par le contrat collectif", "Vive la Confédération internationale des syndicats libres CISL"
Manifestants avec drapeaux et pancartes FOBB, e.a "Salaire hebdomadaire garanti pour les ouvriers du bâtiment"; participent notamment Raymond Bertholet, Charles Pellegrini, Martin et plusieurs groupes de compagnons (français, allemand).
Charles Pellegrini devant le char de la FOBB, section des plâtriers-peintres, demandant la construction de logement social et dénonçant le coût des avions militaires "Mirages".
Manifestants avec drapeau italien et banderoles "FOBB. Les ouvriers étrangers du bâtiment réclament un barême d'impôts équitable", "Pace nel Vietnam", "Via il fascismo […] Grecia!"; participent au cortège du 1er Mai Georges Martin, Jean Burgisser, Charles Pellegrini, Alfred Reichenbach, J. C. Berger, Lucien Tronchet, Grivet ainsi que la Parti socialiste - André Chavannes, Donzé, Jacqueline Wavre.
Camionnette FOBB avec pancarte du syndicat des plâtriers-peintres "Un contrat... OUI mais pas à n'importe quel prix", dénonciation de la paix absolue du travail.