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Collège du Travail, Genève; producteur/trice Genève
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Interview de Louisa Vuille, ouvrière horlogère (3e partie/3)

Interview de Louisa Vuille, ouvrière horlogère, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:35:03).
Période évoquée: 1910-1950

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3 et 3/3) :
Louisa Vuille, née en 1901 à Villeret dans le Jura bernois, évoque son enfance et son apprentissage d’ouvrière horlogère à La Chaux-de-fonds, puis ses conditions de vie et son parcours professionnel après son installation à Genève en 1918 (à Chêne-Bourg, puis à Chêne-Bougeries).
Elle explique les différentes étapes de la fabrication d’une montre, la manière dont le travail était organisé et les tâches respectives des hommes et des femmes (spiral, réglage, retouche, terminage). Elle parle du travail à domicile, en compagnie de son père également horloger, ainsi que les ateliers successifs où elle a travaillé après le décès de son père (entre autres Helbein, Rolex 1929-1939, Niton). Elle revient sur sa première expérience syndicale, la dénonciation des conditions de travail subies par les ouvrières vérifiant l’étanchéité des montres chez Rolex.
Elle évoque également brièvement sa vie personnelle, ses problèmes de santé, son mariage et les difficultés de sa vie de couple, son choix de travailler à 50% et ses conséquences.
De 1941 à 1943, elle s’établit à Annemasse et travaille dans l’atelier Niklès, qui emploie de nombreux déplacés français provenant du Doubs.
En filigrane de sa vie professionnelle transparaissent parfois ses activités syndicales et son engagement politique, chez les femmes socialistes genevoises dans l’entre-deux-guerres, puis au Parti du travail et à la FOMH après la Deuxième Guerre mondiale. Elle est également experte à la Commission d’apprentissage de l’Ecole d’horlogerie.
Louisa Vuille revient également sur sa participation à plusieurs sociétés ouvrières, en particulier à la Chorale populaire l’Avenir (activités, fonctionnement, répertoire) et plus brièvement sur sa pratique de l’esperanto et sa participation au groupe de théâtre L’Effort (principalement dans la 2e partie/3). Elle évoque également certaines activités de loisirs (musique et concerts).
Détaillant les conditions de travail et leur évolution, notamment sur le plan des horaires, elle termine sur l’évocation de ses premières vacances à l’étranger (Espagne, France, Italie).

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 01.10.1986 (4ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la question du travail domestique et au colloque organisé en 1985 par le Collège du travail, interview de Alda De Giorgi qui en était une des animatrices, à la présentation du livre d'Annie Ernaux "La place" par Barbara Conrad, à l'agenda culturel et politique, à une interview de Anne de Herdt sur l'exposition "Brun de Versoix et les amazones" et à un appel de Jacqueline Berenstein-Wavre au boycott par les consommatrices genevoises des produits sud-africains (Durée totale: 02:02:06 ).

Résumé
Partie 4/4: commentaire ironique sur la soirée de solidarité envers les réfugiés organisée au Grand Casino de Genève (02:25-02:40), rubrique de Jacqueline Berenstein-Wavre "Femmes et nourriture": appel aux consommatrices genevoises à boycotter les produits sud-africains du fait de la politique d'apartheid - pommes, poires, raison etc., label CAPE et OUTSPAN - ainsi que les banques suisses qui font affaire avec le régime sud-africain (03:00-08:10), annonce "Onde femme, une radio pour elle" le mercredi sur Radio Zone: émission "Ménage-toi" de 10 heures à midi, émission "Pleine Lune" de 18 à 21 heures (15:40-15:55), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

La Voix des vétérans - Emission 9 (1ère partie/2)

Emission de radio consacrée au métier de colleur de papier peint et au cinéma de l'entre-deux-guerres. (Durée totale: 01:01:24)

Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview montage de Charles Pellegrini: le métier de colleur de papier peint pendant la crise.
Valérie Leuba rencontre Pierre Gayon, collectionneur de films et de musique des années 1920-1940. Sous le titre "cet amoureux fou du cinématographe", il lui raconte ses souvenirs d'enfance et le cinéma du samedi soir.
Musique: ragtime (entre les séquences de l'interview de Pellegrini) et musiques de films.
Réalisation: Christiane Wist.

La partie 2/2 commence par l'interview de Pierre Gayon par Valérie Leuba.

Wist, Christiane; animateur/trice

Ménage-toi - Emission 08.10.1986 (1ère partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment aux crèches, garderies et jardins d'enfants avec la participation de Verena Keller et Monique Realini, à la présentation de deux pièces de théâtre "Andromaque" et "Le Livre de Job" par Catherine Hess, à l'agenda social et culturel, à l'Agenda de la femme suisse 1987 et à une intervention de Jacqueline Berenstein-Wavre sur la question du sucre (Durée totale: 02:05:36).

Résumé
Partie 1/4: présentation de l'émission (00:00-01:00), sommaire (02:50-04:20), interview de Verena Keller, mère de famille et assistante sociale, et de Monique Realini, mère de famille et jardinière d'enfants, sur la question des crèches, des garderies et des jardins d'enfants en marge de la pétition sur les crèches lancées par le groupe "Parents-petite enfance" (12:55-22:00, 25:30-29:15), musique.

Aerni, Marianne; animateur/trice

Interview d'une polisseuse de bijouterie et livreuse, femme de syndiqué - Madeleine Bertholet, le personnage H (1ère partie/1)

Interview d'une polisseuse de bijouterie et livreuse ainsi que femme de syndiqué, Madeleine Bertholet, le personnage H, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 00:46:39).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Partie 1/1):
Dans cet entretien, cette polisseuse en bijouterie et livreuse raconte son parcours. Elle relate ce qui composait la vie quotidienne. Elle se rappelle avec enthousiasme de ses premières vacances qu'elle fit à vélo et l'ambiance exaltée des ouvriers et la liesse commune ressentie dans les traversées de campagnes lors de ces premiers congés payés. Elle parle aussi du rapport à l'argent que lui avait inculqué sa vie de famille et de la croyance dans la Société de Nations.
Elle aurait pu continuer sa scolarité, mais habitant loin du centre de la ville, elle recevait les convocations trop tard, elle n'a donc pas réussi à se présenter à temps aux examens qui lui auraient permis d'accéder à une bourse. Finalement, elle a pris une place de polisseuse de bijouterie, car c'était cette place là qui était proposée dans la Tribune de Genève. Elle était payée 20 francs par mois comme polisseuse, puis 90 francs par mois comme livreuse pour la Laiterie de Champel. Elle raconte comment « ceux qui militaient, ils fallait qu'ils soient impeccables. » Après son mariage, leur fille est tombée malade. Ils n'avaient pas de caisse maladie pour elle et ont du payer sur le long terme cette facture de 90 francs. Elle commente l'usage du terme "ami" pour s'interpeller entre gens qui travaillaient, et dans le mouvement pacifiste, et celui de "camarade" pour parler de quelqu'un du syndicat. Elle dit aussi sa peine lorsque cet usage a changé. Ils ont vécu une période où elle et son mari étaient au chômage.
Elle raconte les premières vacances, les tours à vélo à plusieurs pendant 8 ou 15 jours, où ils n'avaient pas assez pour se nourrir, mais "c'était merveilleux". L'année des congés payés. Les chansons liaient les camarades les unes aux autres. Ils vivaient simplement. Elle assistait à des conférences de pacifistes. Son mari n'a pas voulu faire le service militaire. Elle parle des marchands d'armes comme Schneider et Krupp qui se faisaient beaucoup d'argent en vendant pour les deux côtés et qui ne se faisaient jamais bombarder les usines de production d'armes.
Son mari a fait 13 mois de prison. Pour lui, si on croyait à la Société des Nations alors on ne faisait pas l'armée. Il n'en garde pas un mauvais souvenir car « il en a profité pour penser, pour avancer intellectuellement et spirituellement » « déjà il avait été formé par sa mère ».
Il raconte la fondation d'une coopérative d'électricité fondée lorsqu'il n'y avait plus de travail pour les électriciens. Son mari et un autre électricien l'ont fondée avec l'aide d'un financement de Charles Rosselet en 1939. A la fin, ils étaient une quarantaine dans la coopérative, cela fonctionnait bien malgré les prédictions négatives de certains. Il y avait une solidarité entre coopératives, un esprit socialiste, dit-elle. Elle a vécu le chômage de 1938 plus durement que celui de 1932-1933, car dans le foyer de ses sœurs et frères et de sa maman, il y avait une belle attitude par rapport à l'argent. « Tout le monde sait qu'il doit aider un peu à la maison, et vraiment ils nous ont libéré du côté de l'argent malgré qu'on était toute cette bande (...) plus je me dis, parce qu'on a l'esprit très libre vis-à-vis de l'argent, on est maître de beaucoup de choses. C'est une force pour la vie. On se laisse beaucoup moins corrompre" (…). Ils se sont rencontrés dans le mouvement pacifiste. Quand elle a eu sa fille, elle a arrêté de participer aux meetings politiques. Son mari était objecteur de conscience pour des raisons idéales et spirituelles. Il a fait partie de la commission sociale de l’Église. Ensuite il est allé à Berne, c'était le premier objecteur de conscience qui a été élu conseiller national. Un mois de prison valait une année de privation des droits civiques. Elle parle des mouvements d'abstinence, de l'ouverture de chalets et de jardins ouvriers. « On avait l'impression d'aller vers un monde nouveau » « Les femmes avaient un rôle à jouer, c'est épatant ça." Elle mentionne la création de la maison du syndicat la Fenière. Sa belle-mère était membre des femmes socialistes. Les églises étaient contre l'assurance vieillesse. Ils se sont mariés dans la maison des quakers, mais plus tard son mari se fâchera contre l’Église pour des raisons pacifistes.

L'entretien se termine au temps 00:37:00, puis commence la 3e partie de l'entretien de Sacchi (SON-A-005-3).

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'Alfred Frey, colleur de papier peint (1ère partie/1)

Interview d'Alfred Frey, colleur de papier peint, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:39:05).
Période évoquée : 1920-1940

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/1):
Alfred Frey est un colleur de papier peint et il raconte qu'on le surnomme l'orfèvre. Il a été formé par un camarade italien appliqué et soucieux de précision. Il a effectué des travaux hors du commun, comme celui de coller des partitions sur les murs du salon d'un pianiste, ou d'autres plus courants mais exigeants comme la pose au plafond pour simuler le travail des staffeurs et des ébénistes.
Il débute dans ce métier dans les années 1920, il y a très peu de travail, il fait la tournée de la ville tous les matins avec les camarades pour demander une place. En hiver aussi, il n'y a pas de travail, ils doivent économiser "comme les fourmis". Les épiceries font parfois crédit et les dettes sont payées au printemps.
Il raconte qu'il rêvait d'être employé de bureau, mais comment, pendant la crise économique, le choix du métier de colleur de papier peint s'est imposé à lui. Il relate comment d'autres aussi se sont retrouvés à exercer ce métier, comme de nombreux horlogers, augmentant ainsi la précision du travail accompli. Il raconte son énervement par rapport aux personnes qui "volent le métier". Il raconte la dissolution de l'Association des colleurs de papier peint, et ensuite l'affiliation des membres aux différents syndicats. Il décrit les avantages apportés par l'affiliation d'un grand nombre de colleurs de papier peint à la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB).
Il décrit la particularité d'un domaine ou les patrons et vendeuses de papier peints ne connaissent pas le métier, entraînant des difficultés dans la qualité du travail accompli et les relations avec les clients. Il rapporte l'évolution des techniques de travail, allant des méthodes de fabrication des colles, à celui du transport de matériel à bicyclette.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Franco Stabilini, ouvrier régleur-appareilleur (1ère partie/3)

Interview de Franco Stabilini, ouvrier régleur-appareilleur à Hispano, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 02:02:36).
Période évoquée: 1940-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3 et 2/3) :
Franco Stabilini, né en 1921, évoque la situation de l’Italie durant la Deuxième Guerre mondiale, ses activités syndicales et politiques au sein de l’usine Breda à Brescia, les liens avec la résistance antifasciste, l’effervescence de l’après-guerre et les expériences de luttes ouvrières.
Après une période de chômage, Stabilini est recruté en 1951 par l’entreprise Hispano de Genève en compagnie d’environ 120 autres ouvriers qualifiés italiens. Il décrit les conditions de vie, le logement, la séparation d'avec les familles, de ces travailleurs italiens, recrutés comme «stagiaires » pour des raisons de politique d’immigration, bien qu’ils sont très qualifiés.
Stabilini détaille la production de l’usine, les secteurs d’activités et les postes auxlesquels il a travaillé. Il explique l’organisation du travail, le rôle des chefs, la mécanisation et la rationalisation de la production. Hispano fabrique des armes et des munitions pour l’armée suisse et pour l’exportation.
Il présente ses propres initiatives pour optimiser la production et développer de nouvelles méthodes de travail. Il fait apparaître le besoin de créativité ouvrière ainsi que la marge de manœuvre limitée de l'ouvrier dans le processus de travail.
Stabilini évoque également les luttes pour l’amélioration des conditions de travail et notamment la question du salaire au rendement, avec une part variable liée à la productivité. Stabilini était alors membre de la Commission ouvrière pour le compte de la FOMH.
Il parle également de la situation des ouvriers immigrés italiens, de leur organisation au sein de la Colonie libre italienne (sans détailler), de leurs statuts, de leurs conditions de logement et des problèmes de xénophobie.
Il conclut sur les licenciements auxquels Hispano a procédé lorsque l’entreprise a été confrontée à la crise dans les années 1970, puis a finalement fermé.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

La Voix des vétérans - Emission 9 (2ème partie/2)

Emission de radio consacrée au métier de colleur de papier peint et au cinéma de l'entre-deux-guerres. (Durée totale: 01:01:24)

Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview montage de Charles Pellegrini: le métier de colleur de papier peint pendant la crise.
Valérie Leuba rencontre Pierre Gayon, collectionneur de films et de musique des années 1920-1940. Sous le titre "cet amoureux fou du cinématographe", il lui raconte ses souvenirs d'enfance et le cinéma du samedi soir.
Musique: ragtime (entre les séquences de l'interview de Pellegrini) et musiques de films.
Réalisation: Christiane Wist.

La partie 2/2 commence par l'interview de Pierre Gayon par Valérie Leuba.

Wist, Christiane; animateur/trice

Ménage-toi - Emission 08.10.1986 (2ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment aux crèches, garderies et jardins d'enfants avec la participation de Verena Keller et Monique Realini, à la présentation de deux pièces de théâtre "Andromaque" et "Le Livre de Job" par Catherine Hess, à l'agenda social et culturel, à l'Agenda de la femme suisse 1987 et à une intervention de Jacqueline Berenstein-Wavre sur la question du sucre (Durée totale: 02:05:36).

Résumé
Partie 2/4: suite de l'interview de Verena Keller et de Monique Realini sur les crèches, les garderies et les jardins d'enfants (01:20-05:25), présentation par Catherine Hess de deux pièces de théâtre: "Andromaque" jouée à Saint-Gervais et "Le Livre de Job" au Théâtre de Poche (17:25-29:35), musique.

Aerni, Marianne; animateur/trice

Interview de Franco Stabilini, ouvrier régleur-appareilleur (2e partie/3)

Interview de Franco Stabilini, ouvrier régleur-appareilleur à Hispano, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 02:02:36).
Période évoquée: 1940-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3 et 2/3) :
Franco Stabilini, né en 1921, évoque la situation de l’Italie durant la Deuxième Guerre mondiale, ses activités syndicales et politiques au sein de l’usine Breda à Brescia, les liens avec la résistance antifasciste, l’effervescence de l’après-guerre et les expériences de luttes ouvrières.
Après une période de chômage, Stabilini est recruté en 1951 par l’entreprise Hispano de Genève en compagnie d’environ 120 autres ouvriers qualifiés italiens. Il décrit les conditions de vie, le logement, la séparation d'avec les familles, de ces travailleurs italiens, recrutés comme «stagiaires » pour des raisons de politique d’immigration, bien qu’ils sont très qualifiés.
Stabilini détaille la production de l’usine, les secteurs d’activités et les postes auxlesquels il a travaillé. Il explique l’organisation du travail, le rôle des chefs, la mécanisation et la rationalisation de la production. Hispano fabrique des armes et des munitions pour l’armée suisse et pour l’exportation.
Il présente ses propres initiatives pour optimiser la production et développer de nouvelles méthodes de travail. Il fait apparaître le besoin de créativité ouvrière ainsi que la marge de manœuvre limitée de l'ouvrier dans le processus de travail.
Stabilini évoque également les luttes pour l’amélioration des conditions de travail et notamment la question du salaire au rendement, avec une part variable liée à la productivité. Stabilini était alors membre de la Commission ouvrière pour le compte de la FOMH.
Il parle également de la situation des ouvriers immigrés italiens, de leur organisation au sein de la Colonie libre italienne (sans détailler), de leurs statuts, de leurs conditions de logement et des problèmes de xénophobie.
Il conclut sur les licenciements auxquels Hispano a procédé lorsque l’entreprise a été confrontée à la crise dans les années 1970, puis a finalement fermé.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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