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Collège du Travail, Genève; producteur/trice syndicalisme French
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Interview de Claude Rossier, directeur (4ème partie/4)

Interview d'un ingénieur et directeur, Claude Rossier, par Eric Golay (Durée totale de l'entretien: 03:02:31).
Période évoquée: 1945-1986 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/4 à 4/4) :

Au cours de cet entretien Claude Rossier s'exprime notamment sur: l'influence du niveau de scolarisation sur le personnel, le système de rémunération à la prime, la commission d'entreprise, les licenciements, le syndicalisme, la délégation aux ouvriers et leur consultation, les droits de décision, l'influence de la géopolitique internationale ou encore sur la centrale nucléaire de Lucens (Vaud). Après la publication par le Collège du Travail de la brochure de témoignages des ouvriers et techniciens de Sécheron qu'il a préfacé, Claude Rossier, ancien directeur de Sécheron, puis BBC Sécheron, a manifesté son mécontentement. En effet, il argumente que cette brochure est partiale, qu'elle devrait contenir 50% de témoignages parmi et/ou choisis par la direction. Eric Golay explique qu'il inscrit cet interview dans la démarche générale de compléter les sources déposées par la direction aux Archives d'Etat de Genève. En effet, ce versement d'archives papier ne représente à ses yeux qu'une vision partiale de l'histoire. Ainsi, il tente d'aiguiller Claude Rossier en lui disant: "je ne voudrais pas que vous me parliez de ce que je peux trouver par écrit".

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un peintre en bâtiment - Mario Sacchi, le personnage G (3ème partie/3)

Interviews d'un peintre en bâtiment, Mario Sacchi, le personnage G, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 01:41:47).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3, 3/3):
Né à Genève en 1911, ce peintre en bâtiment d'origine italienne suit un parcours non-conventionnel avant de pratiquer ce métier, il raconte cela en deuxième partie d'entretien. La première partie est consacrée à l'émigration de son père et de son grand-père. Ce sont des maçons qui arrivent à Genève en 1896 après avoir fuit la France et les agressions de l'époque contre les Italiens. En effet, après l'assassinat du président Carnot par un anarchiste italien, beaucoup d'ouvriers du bâtiment sont morts après avoir été jetés depuis les échafaudages. Ils arrivent à Genève à l'époque de l'exposition nationale. Il y a beaucoup de travail, mais il est aussi dangereux, nombreux sont les accidents mortels sur les chantiers du Pont de la Coulouvrenière ou du bâtiment des Forces motrices. Il raconte aussi son enfance, et comment son père maçon deviendra jardinier dans les parcs publics. Ce dernier sera mobilisé en 1915 par l'Italie. Il décrit le travail à domicile de sa mère, travaillant à la pièce comme monteuse de pantoufles, refusant le travail pourtant mieux rémunéré dans les usines de munitions. Il raconte la vie dans un immeuble regroupant des familles de mobilisés français, italiens et allemands, l'ambiance imprégnée des nouvelles du front et le quotidien de la quarantaine d'enfants de la maisonnée. Son père rentre indemne de la guerre, avec le grade de lieutenant et très opposé à Mussolini qui démantèle les coopératives ouvrières. Il raconte le financement des mouvements de jeunesse italiens à Genève par les fascistes. La deuxième partie de l'entretien est consacrée à son parcours original. Jeune, il travaille dans une librairie à la Treille, il pourrait la reprendre, mais il veut être peintre classique ou écrivain. Il fait une année d'apprentissage de commerce, en même temps que les Beaux-Arts, il fera ensuite des études de psychologie du soir tout en prenant des cours de musique. Il quitte le domicile de ses parents à 33 ans. Il décrit les travaux qu'il effectue en tant que peintre en bâtiment, les techniques pour les plafonds et les faux-bois, les faux marbres et la spécialisation dans les enseignes. Il décrit son entrée au syndicat de la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB), certaines assemblées particulières devant Saint-Pierre et le charisme de Lucien Tronchet. Il raconte comment il se fait licencier un matin pour le soir même pour une simple remarque. Il explique la difficulté de trouver du travail en tant que militant et la nécessité de redoubler dans la qualification et la ponctualité. Il parle de la façon dont des personnes ou des méthodes de lutte ont été diabolisées à un moment donné, alors que plus tard les mêmes personnes considèrent les acquis de cette même lutte syndicale comme naturels.

La troisième et dernière partie de l'entretien commence au temps 00:37:10 du fichier 0011_a.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Claude Rossier, directeur (3ème partie/4)

Interview d'un ingénieur et directeur, Claude Rossier, par Eric Golay (Durée totale de l'entretien: 03:02:31).
Période évoquée: 1945-1986 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/4 à 4/4) :
Au cours de cet entretien Claude Rossier s'exprime notamment sur: l'influence du niveau de scolarisation sur le personnel, le système de rémunération à la prime, la commission d'entreprise, les licenciements, le syndicalisme, la délégation aux ouvriers et leur consultation, les droits de décision, l'influence de la géopolitique internationale ou encore sur la centrale nucléaire de Lucens (Vaud). Après la publication par le Collège du Travail de la brochure de témoignages des ouvriers et techniciens de Sécheron qu'il a préfacé, Claude Rossier, ancien directeur de Sécheron, puis BBC Sécheron, a manifesté son mécontentement. En effet, il argumente que cette brochure est partiale, qu'elle devrait contenir 50% de témoignages parmi et/ou choisis par la direction. Eric Golay explique qu'il inscrit cet interview dans la démarche générale de compléter les sources déposées par la direction aux Archives d'Etat de Genève. En effet, ce versement d'archives papier ne représente à ses yeux qu'une vision partiale de l'histoire. Ainsi, il tente d'aiguiller Claude Rossier en lui disant: "je ne voudrais pas que vous me parliez de ce que je peux trouver par écrit".

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Claude Rossier, directeur (2ème partie/4)

Interview d'un ingénieur et directeur, Claude Rossier, par Eric Golay (Durée totale de l'entretien: 03:02:31).
Période évoquée: 1945-1986 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/4 à 4/4) :
Au cours de cet entretien Claude Rossier s'exprime notamment sur: l'influence du niveau de scolarisation sur le personnel, le système de rémunération à la prime, la commission d'entreprise, les licenciements, le syndicalisme, la délégation aux ouvriers et leur consultation, les droits de décision, l'influence de la géopolitique internationale ou encore sur la centrale nucléaire de Lucens (Vaud). Après la publication par le Collège du Travail de la brochure de témoignages des ouvriers et techniciens de Sécheron qu'il a préfacé, Claude Rossier, ancien directeur de Sécheron, puis BBC Sécheron, a manifesté son mécontentement. En effet, il argumente que cette brochure est partiale, qu'elle devrait contenir 50% de témoignages parmi et/ou choisis par la direction. Eric Golay explique qu'il inscrit cet interview dans la démarche générale de compléter les sources déposées par la direction aux Archives d'Etat de Genève. En effet, ce versement d'archives papier ne représente à ses yeux qu'une vision partiale de l'histoire. Ainsi, il tente d'aiguiller Claude Rossier en lui disant: "je ne voudrais pas que vous me parliez de ce que je peux trouver par écrit".

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un peintre en bâtiment - Mario Sacchi, le personnage G (2ème partie/3)

Interviews d'un peintre en bâtiment, Mario Sacchi, le personnage G, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 01:41:47).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3, 3/3):
Né à Genève en 1911, ce peintre en bâtiment d'origine italienne suit un parcours non-conventionnel avant de pratiquer ce métier, il raconte cela en deuxième partie d'entretien. La première partie est consacrée à l'émigration de son père et de son grand-père. Ce sont des maçons qui arrivent à Genève en 1896 après avoir fuit la France et les agressions de l'époque contre les Italiens. En effet, après l'assassinat du président Carnot par un anarchiste italien, beaucoup d'ouvriers du bâtiment sont morts après avoir été jetés depuis les échafaudages. Ils arrivent à Genève à l'époque de l'exposition nationale. Il y a beaucoup de travail, mais il est aussi dangereux, nombreux sont les accidents mortels sur les chantiers du Pont de la Coulouvrenière ou du bâtiment des Forces motrices. Il raconte aussi son enfance, et comment son père maçon deviendra jardinier dans les parcs publics. Ce dernier sera mobilisé en 1915 par l'Italie. Il décrit le travail à domicile de sa mère, travaillant à la pièce comme monteuse de pantoufles, refusant le travail pourtant mieux rémunéré dans les usines de munitions. Il raconte la vie dans un immeuble regroupant des familles de mobilisés français, italiens et allemands, l'ambiance imprégnée des nouvelles du front et le quotidien de la quarantaine d'enfants de la maisonnée. Son père rentre indemne de la guerre, avec le grade de lieutenant et très opposé à Mussolini qui démantèle les coopératives ouvrières. Il raconte le financement des mouvements de jeunesse italiens à Genève par les fascistes. La deuxième partie de l'entretien est consacrée à son parcours original. Jeune, il travaille dans une librairie à la Treille, il pourrait la reprendre, mais il veut être peintre classique ou écrivain. Il fait une année d'apprentissage de commerce, en même temps que les Beaux-Arts, il fera ensuite des études de psychologie du soir tout en prenant des cours de musique. Il quitte le domicile de ses parents à 33 ans. Il décrit les travaux qu'il effectue en tant que peintre en bâtiment, les techniques pour les plafonds et les faux-bois, les faux marbres et la spécialisation dans les enseignes. Il décrit son entrée au syndicat de la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB), certaines assemblées particulières devant Saint-Pierre et le charisme de Lucien Tronchet. Il raconte comment il se fait licencier un matin pour le soir même pour une simple remarque. Il explique la difficulté de trouver du travail en tant que militant et la nécessité de redoubler dans la qualification et la ponctualité. Il parle de la façon dont des personnes ou des méthodes de lutte ont été diabolisées à un moment donné, alors que plus tard les mêmes personnes considèrent les acquis de cette même lutte syndicale comme naturels.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un peintre en bâtiment - Mario Sacchi, le personnage G (1ère partie/3)

Interviews d'un peintre en bâtiment, Mario Sacchi, le personnage G, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 01:41:47).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3, 3/3):
Né à Genève en 1911, ce peintre en bâtiment d'origine italienne suit un parcours non-conventionnel avant de pratiquer ce métier, il raconte cela en deuxième partie d'entretien. La première partie est consacrée à l'émigration de son père et de son grand-père. Ce sont des maçons qui arrivent à Genève en 1896 après avoir fuit la France et les agressions de l'époque contre les Italiens. En effet, après l'assassinat du président Carnot par un anarchiste italien, beaucoup d'ouvriers du bâtiment sont morts après avoir été jetés depuis les échafaudages. Ils arrivent à Genève à l'époque de l'exposition nationale. Il y a beaucoup de travail, mais il est aussi dangereux, nombreux sont les accidents mortels sur les chantiers du Pont de la Coulouvrenière ou du bâtiment des Forces motrices. Il raconte aussi son enfance, et comment son père maçon deviendra jardinier dans les parcs publics. Ce dernier sera mobilisé en 1915 par l'Italie. Il décrit le travail à domicile de sa mère, travaillant à la pièce comme monteuse de pantoufles, refusant le travail pourtant mieux rémunéré dans les usines de munitions. Il raconte la vie dans un immeuble regroupant des familles de mobilisés français, italiens et allemands, l'ambiance imprégnée des nouvelles du front et le quotidien de la quarantaine d'enfants de la maisonnée. Son père rentre indemne de la guerre, avec le grade de lieutenant et très opposé à Mussolini qui démantèle les coopératives ouvrières. Il raconte le financement des mouvements de jeunesse italiens à Genève par les fascistes. La deuxième partie de l'entretien est consacrée à son parcours original. Jeune, il travaille dans une librairie à la Treille, il pourrait la reprendre, mais il veut être peintre classique ou écrivain. Il fait une année d'apprentissage de commerce, en même temps que les Beaux-Arts, il fera ensuite des études de psychologie du soir tout en prenant des cours de musique. Il quitte le domicile de ses parents à 33 ans. Il décrit les travaux qu'il effectue en tant que peintre en bâtiment, les techniques pour les plafonds et les faux-bois, les faux marbres et la spécialisation dans les enseignes. Il décrit son entrée au syndicat de la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB), certaines assemblées particulières devant Saint-Pierre et le charisme de Lucien Tronchet. Il raconte comment il se fait licencier un matin pour le soir même pour une simple remarque. Il explique la difficulté de trouver du travail en tant que militant et la nécessité de redoubler dans la qualification et la ponctualité. Il parle de la façon dont des personnes ou des méthodes de lutte ont été diabolisées à un moment donné, alors que plus tard les mêmes personnes considèrent les acquis de cette même lutte syndicale comme naturels.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Charles Pellegrini, colleur de papier peints (1ère partie/1)

Interview de Charles Pellegrini, colleur de papiers peints, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:24:18).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/1):
Dans ce court entretien, Charles Pellegrini raconte les techniques utilisées dans le métier de colleur de papiers peints. Il décrit une période à Genève où il y avait plus de 6 000 logements vacants, et où les régisseurs faisaient appel aux colleurs de papier peint pour augmenter les chances de louer. Il parle de la nécessité pour les ouvriers de posséder leurs outils (ciseaux, fil à plomb, spatule, échelle, table pliante, bidons). Il relate à ce sujet, l'apparition dans les années 1930, de la règle d'acier et du sabre et de l'importance pour les colleurs de se les procurer. Le transport de ce matériel se faisait à bicyclette. Il énumère les différents types de colles et leur utilisation ("poisson", farine blanche et bise, farine de seigle, dextrine). Il explique comment les ouvriers syndiqués se sont organisés pour obtenir de la farine blanche pendant la guerre. Il décrit les méthodes de fabrication des papiers peints (chablon sur planche de bois) et les spécificités des papiers produits par la maison Grandchamp et Cie à Genève. Il relate les travaux de fantaisie pour les riches avec leur papier tissé de trames de soie. Il raconte la concurrence de prix des produits importés. Il raconte enfin les travaux entrepris à l'hôtel Cornavin en 1931 ainsi que la destruction de l'Hôtel du Siècle à l'aide de boulets lancés depuis une grue.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Claude Rossier, directeur (1ère partie/4)

Interview d'un ingénieur et directeur, Claude Rossier, par Eric Golay (Durée totale de l'entretien: 03:02:31).
Période évoquée: 1945-1986 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/4 à 4/4) :
Au cours de cet entretien Claude Rossier s'exprime notamment sur: l'influence du niveau de scolarisation sur le personnel, le système de rémunération à la prime, la commission d'entreprise, les licenciements, le syndicalisme, la délégation aux ouvriers et leur consultation, les droits de décision, l'influence de la géopolitique internationale ou encore sur la centrale nucléaire de Lucens (Vaud). Après la publication par le Collège du Travail de la brochure de témoignages des ouvriers et techniciens de Sécheron qu'il a préfacé, Claude Rossier, ancien directeur de Sécheron, puis BBC Sécheron, a manifesté son mécontentement. En effet, il argumente que cette brochure est partiale, qu'elle devrait contenir 50% de témoignages parmi et/ou choisis par la direction. Eric Golay explique qu'il inscrit cet interview dans la démarche générale de compléter les sources déposées par la direction aux Archives d'Etat de Genève. En effet, ce versement d'archives papier ne représente à ses yeux qu'une vision partiale de l'histoire. Ainsi, il tente d'aiguiller Claude Rossier en lui disant: "je ne voudrais pas que vous me parliez de ce que je peux trouver par écrit".

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

La Voix des vétérans - Emission 6 (2ème partie/2)

Emission de radio sur la guerre d'Espagne. (Durée totale: 00:58:66)

Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview de Henri Meyer, ouvrier du bâtiment, plombier, engagé dans les brigades internationales en 1936.
Compte rendu de l'exposition de Henri Capa au Musée de l'Elysée sur des photographies de la guerre d'Espagne.
Musique: chansons traduites en français de poèmes espagnols.
Réalisation: Christiane Wist.

La partie 2/2 commence par la suite de l'interview de Henri Meyer, de son quotidien sur le front en Espagne.

Wist, Christiane; animateur/trice

La Voix des vétérans - Emission 6 (1ère partie/2)

Emission de radio sur la guerre d'Espagne. (Durée totale: 00:58:66)

Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview de Henri Meyer, ouvrier du bâtiment, plombier, engagé dans les brigades internationales en 1936.
Compte rendu de l'exposition de Henri Capa au Musée de l'Elysée sur des photographies de la guerre d'Espagne.
Musique: chansons traduites en français de poèmes espagnols.
Réalisation: Christiane Wist.

La partie 2/2 commence par la suite de l'interview de Henri Meyer, de son quotidien sur le front en Espagne.

Wist, Christiane; animateur/trice

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