socialisme

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Fonds Amélia Christinat (ACH)

  • ACH
  • Fonds
  • 1932-2015 (1887-2015)

Ce fonds documente les activités d'Amélia Christinat dans ses fonctions de parlementaire, en particulier au Conseil national (1978-1987). Il couvre également son engagement pour les droits des consommateurs et consommatrices, des femmes et au sein du Parti socialiste genevois.
La série A du fonds couvre le parcours biographique d'Amélia Christinat. On y trouve également sa correspondance, qui concerne son activité au Conseil national ainsi que ses différentes activités politiques, associatives et personnelles.
La série B couvre ses activités parlementaires et la documentation relative à celle-ci.
La série C contient des dossiers constitués à l'occasion de différentes élections, en particulier celles où Amélia Christinat a fait campagne.
La série D couvre sses différents engagements politiques et associatifs, au sein de l'Union PTT, de la Fédération romande des consommatrices, du Parti socialiste genevois et de la chorale Pro Ticino à Genève.
La série E contient des documents personnels de son mari, Émile Christinat (1909-1994), sa correspondance concernant les articles publiés dans le Journal des fonctionnaires des PTT et des Douanes et le Journal des fonctionnaires fédéraux.

Christinat-Petralli, Amélia

Fonds du Comité de solidarité socialiste avec les opposants des pays de l'est (CSSOPE)

  • CH-001784-0 CSSOPE
  • Fonds
  • 1962 - 1995

Activités du Comité de solidarité socialiste avec les pays de l'Est (CSSOPE), fondé à Genève en mars 1977 et dissous en 1990. Documentation sur la répression dans les pays de l'Est des années 1960 à 1980, et en particulier sur les abus de la psychiatrie à des fins politiques.

Comité de solidarité socialiste avec les opposants des pays de l'est (CSSOPE)

Fonds Jean Treina

  • CH-001784-0 JTR
  • Fonds
  • 1931 - 1967

Ce fonds rend compte des affaires traitées par Jean Treina en tant que président de la section genevoise de la Fédération des fonctionnaires postaux (1937-1940), président du Parti socialiste genevois (1944-1947), puis vice-président du Parti (1947-). Certaines activités sont traitées en marge de son action de Conseiller d’Etat (1947-1965). Ce fonds réunit de nombreuses pièces de correspondances ainsi que des rapports et de la documentation. Il documente notamment les conflits qui ont divisé le mouvement ouvrier genevois dans les années 1930 et 1940 (luttes entre socialistes et communistes sur le plan politique et syndical). Il témoigne également des campagnes électorales du parti socialiste genevois entre 1940 et 1967.

Treina, Jean

Fonds du Parti socialiste genevois

  • CH-001784-0 PSG
  • Fonds
  • 1901-1972

Ce fonds rend compte des activités du Parti socialiste au début du 20e siècle (procès-verbaux 1901-1907), puis entre 1953 et 1967 principalement (procès-verbaux de comités et d'assemblées).
Il permet également de documenter l'action de certaines sections de la ville de Genève entre 1950 et 1962 (procès-verbaux).
Plusieurs campagnes politiques sont également documentées à travers des coupures de presse, du matériel de propagande et des bulletins de vote.
Quelques publications du PSG ainsi qu'un ensemble de journaux et de brochures publiées par d'autres sections et partis de gauche complètent la documentation disponible.

Parti socialiste genevois

Fonds Raymond Bertholet

  • CH-001784-0 RBE
  • Fonds
  • 1932 - 1982

Ce fonds rend compte des interventions de Raymond Bertholet au Grand Conseil et au Conseil national, principalement sur des questions de sécurité au travail et d'objection de conscience. La partie principale consiste toutefois en documentation (brochures, revues, coupures de presse) sur les questions d'objection de conscience, de service civil et de pacifisme. Quelques imprimés rendent compte de l'action des coopératives de production et d'habitation à Genève.

Bertholet, Raymond

Interview d'un colleur de papier peint - le personnage O (1ère partie/2)

Interview d'un colleur de papier peint, le personnage O, par Paulette Deleval et Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:57:39).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Dans cet entretien, ce colleur de papier peint, syndiqué à la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB) raconte son premier petit boulot à onze ans et demi, puis son apprentissage à 13 ans et demi. Il travaillait en étant payé à la pièce, c'est à dire au rouleau. Il raconte les méthodes de sabotage spécifiques aux colleurs. Pour les colleurs de papiers peints, parfois une ou deux heures supplémentaires le soir, leur faisait gagner un ou deux jours de travail. Il faisait beaucoup de football.

Repérage des sujets principaux (1ère partie/2)
00:00:00 à 00:09:00 : description du métier de colleur de papier peint: les outils (travail au ciseau), le transport à vélo (son premier vélo, pas de vitesses) - accident de vélo - vingt à vingt-cinq colleurs de papiers peints à l'époque à Genève - grande évolution du métier (plus grande facilité grâce aux outils) - Bon apprentissage à 13 ans et demi à Yverdon, bon patron qui buvait beaucoup. A appris le métier par lui même - Après le travail, il faisait les courses (depuis l'âge de 11 ans) - sa mère fait des ménages;
00:09:00 à 00:18:00 : football: ils s'entraînaient eux-mêmes (Regina, Stella, Jonction, Young Boys, équipe de la fédération ouvrière SATUS), a été sélectionné pour aller en Russie, mais le communisme n'était pas son point de vue - Lucien Tronchet, un individualiste - Henri Tronchet a reçu une balle le 9 novembre - 9 novembre: ils n'auraient pas du mettre des jeunes de l'école de recrue - "toujours eu l'idée de défendre la classe ouvrière, défendre mon métier" - A 17-18 ans, il voulait gagner de l'argent, il a tout de suite eu 200-300 francs par mois - Mère célibataire, père avait autre famille à Lausanne, n'a jamais payé de pension, donnait 10 francs par semaine à sa mère - mobilisé en 1939;
00:18:00 à 00:27:00 : fils mort de leucémie - payé à la pièce, au rouleau - 1.30 francs de l'heure, dans notre métier on paie la colle les outils on paie tout - sa femme n'a plus travaillé comme sommelière - Sœur est venue d'Italie - Un homme immigré allait jusqu'à cacher sa femme - sa mère puis sa sœur ont eu une épicerie - sa mère était culottière, elle travaillait pour l'armée, les habits militaires - en 1933, onnu un peu le chômage, sept huit mois. On touchait une allocation de la FOBB. - Vente de l'épicerie, soeur à Yverdon. - "Avant la guerre, les conditions étaient bien moins bonnes que maintenant. En principe, celui qui voulait travailler, il arrivait toujours à une solution, il y en avait peu, mais on se débrouillait. Mais le patron s'il a pas de travail, il a pas d'argent non plus. Les conditions n'étaient pas plus difficiles. Il y a beaucoup d'ouvriers qui auraient eu besoin d'un coup de pied au cul" - Entrée au syndicat pendant la grève, revendication d'un tarif plus élevé, la FOBB après nous a aidé.
00:27:00 à 00:35:00 : " Et on est arrivé à un meilleur résultat. La grève a duré 6 mois. C'est pour cela qu'on a fait ces travaux. J'ai continué à venir au syndicat. Il y avait 8 assemblées par an.
[ Césure]
Ce métier est un petit peu un métier libertin: Vous êtes aux pièces. Midi à 14 heures on va boire une bière parce-qu'on peut. Moi à 6h30, je commençai directement le travail. Certains arrivaient à 7h 8h 9h. Chacun arrivait quand il voulait. Colleurs qui n'arrivaient pas à avoir des grandes grandes paies. C'est un super métier. - Les meilleurs métiers dans le bâtiment: carreleurs, ponceurs, parqueteurs,
... engrangé de l'or pendant un moment.- Attaché au travail à la pièce.- On était un bon groupe. Favre, il avait des crises d'épilepsie, il tombait de l'échelle, maintenant il serait à l'invalidité. - Mais Tronchet c'est lui qui a amené la masse. - Il faut défendre son métier, mais on a beaucoup de moyens pour défendre. On mettait de l'acide dans les colles sur le papier. On est pas des anarchistes, moi je suis plutôt socialiste;"
00:36:00 à 00:46:06 "Les bagarres, c'est pas dans ma nature. Si je dois me défendre je le fais, mais c'est pas mon truc.- Je suis plutôt philosophe, j'aime bien aider les vieux. - On est passé du rouleau au mètre carré, mais dans un vestibule c'est plus compliqué. - J'ai dit à maman je n'irai plus faire les commissions. - Je travaillais chez le Père Pillonnet, rue Gerber il faisait les marchés dans le canton de Vaud. - Il avait des sacoches sur son vélo. Il faisait la chine. Il vendait tout ce qui était utile pour la femme à la maison.- L'accident typique c'est tomber d'une échelle. - Un bâtiment de luxe n'a pas rapporté plus. Le luxe ça ne paie pas. - A travaillé à l'Hôtel Métropole, à la construction de la Société des nations (SdN) et du Bureau international du travail (BIT). - Les grèves sur le chantier de la SdN ne m'ont pas touché. - Pas de fête d'inauguration pour les bâtiments. La SdN et le BIT représentaient plutôt un espoir pour le peuple.- Onze ans et demi chez Monsieur Pigeonnet."

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un colleur de papier peint - le personnage O (2ème partie/2)

Interview d'un colleur de papier peint, le personnage O, par Paulette Deleval et Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:57:39).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Dans cet entretien, ce colleur de papier peint, syndiqué à la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB) raconte son premier petit boulot à onze ans et demi, puis son apprentissage à 13 ans et demi. Il travaillait en étant payé à la pièce, c'est à dire au rouleau. Il raconte les méthodes de sabotage spécifiques aux colleurs. Pour les colleurs de papiers peints, parfois une ou deux heures supplémentaires le soir, leur faisait gagner un ou deux jours de travail. Il faisait beaucoup de football.

Repérage des sujets principaux : (2ème partie/2)
00:00:00 à 00:09:00 : A commencé son apprentissage à 13 ans. Pour lui le chômage n'a pas été trop dur, surtout il n'a pas connu le chômage en étant marié - "Les syndicats chrétiens sociaux avaient été travailler, accompagnés par des gendarmes. Ils défendent le patron, ils ne se défendent pas eux-mêmes" – Vous dites que vous êtes chrétien et pas anarchiste: je n'ai jamais pensé à aller à la FOBB, peut être que les chrétiens sociaux n'existaient pas à l'époque en 1933 - La FOBB avait quand même bien aidé les chômeurs. Si on était célibataire ça allait, mais si on avait des enfants, alors l'aide de la FOBB était nécessaire - Anecdote d'une réception le soir, il est resté le soir pour terminer un travail, 45 ou 60 minutes de plus, "je l'ai fait pour moi, car je voulais aller travailler ailleurs le lendemain. J'ai croisé Tronchet";
00:09:00 à 00:18:00 : "Actions directes: on a eu rayé des travaux qui ont été faits, des papiers, personne ne savait qui l'avait fait. On défendait ce métier. - Les actions directes, c'était des idées de Tronchet. - Les parqueteurs, et les plâtriers, ce sont des métiers, pour parfois deux heures de temps on gagnait 4 jours.- Je suis pas trop un participant du 1er mai. Pas contre, mais pas dans mes idées."

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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