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Fonds de photographies FOBB

  • CH-001784-0 FOBB
  • Fonds
  • 1935-1983

Les quatre premières séries du fonds contiennent principalement des photographies liées aux activités de la Fédération des ouvriers du bois et du bâtiment (FOBB) entre 1935 et 1981. Cependant, la majeure partie des photographies concernent les années 1930 jusqu’à la fin des années 1950. Les sujets couverts sont divers (e.a. manifestations, fêtes, actions, assemblées, loisirs syndicaux, membres du syndicat). La dernière série du fonds traite de la 2e Guerre mondiale. Les photographies datent principalement de 1944. Elles montrent les conséquences de la guerre (e.a. dans le Vercors, à Chambéry et à Lyon) et les actions menées par l’Œuvre suisse d'entraide ouvrière.

Fédération des ouvriers du bois et du bâtiment (FOBB)

Ménage-toi - Emission 12.11.1986 (4ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l'association d'artisanes Pénélopes représentée par Renée Chevalley et Jacqueline Berenstein-Wavre, à une histoire de l'aspirateur contée par Alda De Giorgi, à l'agenda social et culturel et à une proposition de menu équilibré (Durée totale: 02:03:44)

Résumé
Partie 4/4: mention de problèmes techniques (01:15-01:40), rubrique de Jacqueline Berenstein-Wavre "Femmes et nourriture": menu de la semaine commenté par la diététicienne Aline Robert (05:45-07:50, 17:30-17:40), rediffusion de l'émission vers 16h (18:15-18:20), annonce "Onde femme, une radio pour elle" le mercredi sur Radio Zone (18:40-19:00), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 12.11.1986 (3ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l'association d'artisanes Pénélopes représentée par Renée Chevalley et Jacqueline Berenstein-Wavre, à une histoire de l'aspirateur contée par Alda De Giorgi, à l'agenda social et culturel et à une proposition de menu équilibré (Durée totale: 02:03:44)

Résumé
Partie 3/4: suite de la chronique "Remue-Ménage" d'Alda de Giorgi consacrée à l'histoire de l'aspirateur (00:15-02:50, 03:45-05:50, 08:30-09:30), l'agenda culturel et social de Ménage-toi avec entre autres: quinzaine du parascolaire à la Maison de quartier de la Jonction, 3e assemblé générale d' Aspasie, cours de formation pour chômeurs à l' Université ouvrière de Genève (UOG), soirées organisée par l'Association de soutien au peuple chilien Salvador Allende, stage de Wen-Do, Centre Femmes de Genève, bal des chattes sauvages (18:15-28:25), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 12.11.1986 (2ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l'association d'artisanes Pénélopes représentée par Renée Chevalley et Jacqueline Berenstein-Wavre, à une histoire de l'aspirateur contée par Alda De Giorgi, à l'agenda social et culturel et à une proposition de menu équilibré (Durée totale: 02:03:44)

Résumé
Partie 2/4: chronique "Remue-Ménage" d'Alda de Giorgi consacrée à l'histoire de l'aspirateur sur la base de l'ouvrage de Siegfried Giedon, "La mécanisation au pouvoir", 1948 (traduction française 1984) (18:00-18:40, 19:15-21:05, 21:45-26:50, 27:20-29:30, 29:50-30:00), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 12.11.1986 (1ère partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l'association d'artisanes Pénélopes représentée par Renée Chevalley et Jacqueline Berenstein-Wavre, à une histoire de l'aspirateur contée par Alda De Giorgi, à l'agenda social et culturel et à une proposition de menu équilibré (Durée totale: 02:03:44)

Résumé
Partie 1/4: présentation de l'émission (00:00-01:05), sommaire (02:30-04:10), interview de Renée Chevalley et Jacqueline Berenstein-Wavre qui présentent l'association Pénélope, créée en 1980 pour réunir des femmes qui mènent des activités créatrices et artistiques durant leur temps libre - peinture sur verre, broderie, tissage, etc, à l'occasion d''une exposition organisée au Centre commercial Eaux-Vives 2000 (06:40-11:50, 12:30-15:45, 16:30-19:10, 20:25-22:30, 23:45-24:30), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Maria Marti-Casarsa

Récit de Marie Marti-Casarsa (née en 1933 à Branco en Vénétie) de son arrivée en Suisse, son travail, sa vie à Genève et ses activités militantes au Parti du travail. Interviewé par Patrick Auderset, en présence de sa fille, Catherine Marti.

Voir le compte rendu de son interview avec minutages dans le dossier conservé au Collège du travail.

Marti-Casarsa, Maria; interviewé/e

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (4e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (3e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (2e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (1ère partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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