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Castagna, Mario

Portrait de Mario Castagna "condamné par le Jury de la Seine à 7 ans de réclusion pour avoir défendu sa vie contre une bande de fascistes italiens" [Il tue Gino Jeri le 3 septembre 1923].

Interview de Julien Claude, charpentier (3ème partie/3)

Interview d'un charpentier, Julien Claude, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:01:34).
Périodes évoquées: Moyen-Age, 1920-1940, 1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/3, 2/3 et 3/3):
Il s'agit d'un interview axé sur les origines, les raisons d'existence et l'évolution jusqu'à aujourd'hui des sociétés de compagnons. Julien Claude parle de substitution de monde compagnonnique par les syndicats. Il rappelle que les associations de compagnons étaient en règle générale interdites. Il raconte la création en 1943 de l'Association ouvrière des compagnons du devoir, association regroupant plus de seize métiers.
L'autre volet important de cet entretien a pour sujet la formation et la transmission de connaissance. Le "tour de France" des compagnons y est décrit: l'organisation de l'accueil, les cours du soir ainsi que les différentes étapes et épreuves du processus de formation (admission en tant que stagiaire, décision de devenir aspirant puis épreuve menant au statut de compagnon). Il est question aussi: des compagnons en tant que dépositaires d'une science de la construction, de la circulation des ouvriers en Europe et de la nécessité d'une organisation stricte lorsque les ouvrages sont très grands et impliquent un nombre important de personnes.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Julien Claude, charpentier (2ème partie/3)

Interview d'un charpentier, Julien Claude, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:01:34).
Périodes évoquées: Moyen-Age, 1920-1940, 1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/3, 2/3 et 3/3):
Il s'agit d'un interview axé sur les origines, les raisons d'existence et l'évolution jusqu'à aujourd'hui des sociétés de compagnons. Julien Claude parle de substitution de monde compagnonnique par les syndicats. Il rappelle que les associations de compagnons étaient en règle générale interdites. Il raconte la création en 1943 de l'Association ouvrière des compagnons du devoir, association regroupant plus de seize métiers.
L'autre volet important de cet entretien a pour sujet la formation et la transmission de connaissance. Le "tour de France" des compagnons y est décrit: l'organisation de l'accueil, les cours du soir ainsi que les différentes étapes et épreuves du processus de formation (admission en tant que stagiaire, décision de devenir aspirant puis épreuve menant au statut de compagnon). Il est question aussi: des compagnons en tant que dépositaires d'une science de la construction, de la circulation des ouvriers en Europe et de la nécessité d'une organisation stricte lorsque les ouvrages sont très grands et impliquent un nombre important de personnes.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Julien Claude, charpentier (1ère partie/3)

Interview d'un charpentier, Julien Claude, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:01:34).
Périodes évoquées: Moyen-Age, 1920-1940, 1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/3, 2/3 et 3/3):
Il s'agit d'un interview axé sur les origines, les raisons d'existence et l'évolution jusqu'à aujourd'hui des sociétés de compagnons. Julien Claude parle de substitution de monde compagnonnique par les syndicats. Il rappelle que les associations de compagnons étaient en règle générale interdites. Il raconte la création en 1943 de l'Association ouvrière des compagnons du devoir, association regroupant plus de seize métiers.
L'autre volet important de cet entretien a pour sujet la formation et la transmission de connaissance. Le "tour de France" des compagnons y est décrit: l'organisation de l'accueil, les cours du soir ainsi que les différentes étapes et épreuves du processus de formation (admission en tant que stagiaire, décision de devenir aspirant puis épreuve menant au statut de compagnon). Il est question aussi: des compagnons en tant que dépositaires d'une science de la construction, de la circulation des ouvriers en Europe et de la nécessité d'une organisation stricte lorsque les ouvrages sont très grands et impliquent un nombre important de personnes.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Der Schrecken des Krieges

Illustration qui montre à l'arrière les troupes françaises et allemandes qui s'affrontent; les troupes suisses à la frontière (Rhin); au premier plan, une famille suisse qui souffre et prie.

Rosenzweig, A. W.

Interview de René de Motz, menuisier charpentier et enseignant (2ème partie/2)

Interview d'un menuisier charpentier enseignant, René de Motz, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:02:42).
Période évoquée: 1920-1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/2 et 2/2) :
Dans cet instructif entretien semi-dirigé, René de Motz menuisier charpentier devenu enseignant, s'exprime sur la durée de l'expérience professionnelle qui s'est réduite avec la retraite et le fait d'entrer dans la vie professionnelle plus tardivement. Il parle du consensus tacite qui existait chez les jeunes pour soulager les plus vieux des travaux pénibles. Il dit aussi à ce sujet « […] ces gens-là travaillaient jusqu'au bout, si bien que moi à vingt ans j'ai travaillé avec des gens qui avaient 85 ans, mais qui avaient un idéal professionnel et puis surtout qui avaient cultivé l'habileté manuelle à un stade que l'on ne connaîtra plus. Ils avaient une expérience professionnelle qui s'étendait sur toute leur existence [...] ». Sur la formation des ouvriers il dit: « Disons que la population professionnelle il y a un siècle, elle était composée à peu près de moitié de gens non particulièrement qualifiés, mais qui avaient un esprit du bois (...) on pourrait dire que c'était la civilisation du bois ». René de Motz est la troisième génération de sa famille dans les métiers du bois. Il aurait voulu faire avocat, mais il y avait des nécessités économiques. Il a fait son apprentissage à l’École des Arts et Métiers. Il a pratiqué de 18 à 32 ans. Il s'est ensuite engagé dans l'enseignement en tant que maître de fabrication, pour ensuite enseigner à l’École d'ingénieur, où il a enseigné la statique. A soixante ans, il a pris sa retraite et s'est occupé de litiges dans le domaine. Au niveau de la formation, on pouvait considérer que la menuiserie était le tronc commun, la charpente c'était pour la construction et l'ébéniste pour la décoration. Il évoque les nombreuses démolitions de fermes. Il parle des tendances long terme sur les techniques de charpente. Il estime que jusqu'à la fin du 19e siècle, nos sociétés avaient une culture "rurale et du bois". A partie des années 1930, la ville s'est alors construite en béton. Il raconte la façon dont les patrons se sont organisés pour tenter de relancer la construction en bois en proposant des villas préfabriquées destinées à des logements sociaux. Sur la mécanisation, il dit des gens qui maniaient les premières machines qu'ils étaient un peu comme les premiers aviateurs.
Parmi les autres sujets traités, on trouve les méthodes pour scier du bois de long, les constructions de baraquements pendant la guerre pour les Français et les Allemands, le commerce du bois tordu pour les bateaux, le travail du bois dans les premières voitures ou encore le travail de coffrage.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de René de Motz, menuisier charpentier et enseignant (1ère partie/2)

Interview d'un menuisier charpentier enseignant, René de Motz, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:02:42).
Période évoquée: 1920-1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/2 et 2/2) :
Dans cet instructif entretien semi-dirigé, René de Motz menuisier charpentier devenu enseignant, s'exprime sur la durée de l'expérience professionnelle qui s'est réduite avec la retraite et le fait d'entrer dans la vie professionnelle plus tardivement. Il parle du consensus tacite qui existait chez les jeunes pour soulager les plus vieux des travaux pénibles. Il dit aussi à ce sujet « […] ces gens-là travaillaient jusqu'au bout, si bien que moi à vingt ans j'ai travaillé avec des gens qui avaient 85 ans, mais qui avaient un idéal professionnel et puis surtout qui avaient cultivé l'habileté manuelle à un stade que l'on ne connaîtra plus. Ils avaient une expérience professionnelle qui s'étendait sur toute leur existence [...] ». Sur la formation des ouvriers il dit: « Disons que la population professionnelle il y a un siècle, elle était composée à peu près de moitié de gens non particulièrement qualifiés, mais qui avaient un esprit du bois (...) on pourrait dire que c'était la civilisation du bois ». René de Motz est la troisième génération de sa famille dans les métiers du bois. Il aurait voulu faire avocat, mais il y avait des nécessités économiques. Il a fait son apprentissage à l’École des Arts et Métiers. Il a pratiqué de 18 à 32 ans. Il s'est ensuite engagé dans l'enseignement en tant que maître de fabrication, pour ensuite enseigner à l’École d'ingénieur, où il a enseigné la statique. A soixante ans, il a pris sa retraite et s'est occupé de litiges dans le domaine. Au niveau de la formation, on pouvait considérer que la menuiserie était le tronc commun, la charpente c'était pour la construction et l'ébéniste pour la décoration. Il évoque les nombreuses démolitions de fermes. Il parle des tendances long terme sur les techniques de charpente. Il estime que jusqu'à la fin du 19e siècle, nos sociétés avaient une culture "rurale et du bois". A partie des années 1930, la ville s'est alors construite en béton. Il raconte la façon dont les patrons se sont organisés pour tenter de relancer la construction en bois en proposant des villas préfabriquées destinées à des logements sociaux. Sur la mécanisation, il dit des gens qui maniaient les premières machines qu'ils étaient un peu comme les premiers aviateurs.
Parmi les autres sujets traités, on trouve les méthodes pour scier du bois de long, les constructions de baraquements pendant la guerre pour les Français et les Allemands, le commerce du bois tordu pour les bateaux, le travail du bois dans les premières voitures ou encore le travail de coffrage.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

[France: mobilisation pour les retraites]

Militants et militantes réunies dans une salle; banderoles: "Nous ne pouvons plus attendre: pour voter notre retraite nous réclamons: la convocation immédiate du Parlement", "Donner aux vieux une retraite", "Nous ne voulons pas une aumôme"; en haut de la tribune: "Tout faire pour unir, rien pour diviser" avec illustrations relatives à la lutte ouvrière et un portrait; des deux côtés de la tribune, sigle CGT US Métaux.

Le Vercors après l'attaque des Allemands

Album composé de divers reportages montrant plusieurs lieux de la région du Vercors (e.a. Vassieux-en-Vercors, La Chapelle-en-Vercors, la grotte de Luire, La Mure) ; destructions de bâtiments, d'infrastructures et d'un avion; cadavres ; photographies de survivants (civils et soldats).

Tronchet, Lucien

Interviews d'un scieur de pierre - Pierre Mouret, le personnage K ainsi que d'un peintre - le personnage L, d'une employée d'usine d'armement et d'un ouvrier (2ème partie/2)

Il s'agit de deux interviews. La première interview est celle d'un scieur de pierre, Pierre Mouret, le personnage K, par Paulette Deleval et Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:21:10). La deuxième celle d'un peintre, le personnage L, d'une employée d'usine d'armement et d'un autre ouvrier par Paulette Deleval et Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:12:34).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Le premier entretien, qui s'étend sur deux fichiers (0014_b, puis 0014a) est un entretien de trois personnes, deux hommes et une femme. L'identification des personnages est difficile et non confirmée, les récits sont riches et amènent des éléments peu évoqués dans le reste de la série. La femme a notamment travaillé chez Tavaro, une usine qui produisait des munitions décorées de croix gammées pour les Allemands pendant la guerre. Un des hommes est peintre. Un des deux hommes au moins participait à la Ligue d'action du bâtiment (LAB) et livre ses récits et son point du vue à ce sujet.
La deuxième partie de l'enregistrement est consacrée à un entretien avec un scieur de pierre ayant occupé la fonction de secrétaire syndical à la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB). Il parle notamment du chantier de la Société des Nations, du fait d'avoir été envoyé en France par ses parents et des changements dans les pratiques des secrétaires syndicaux. Il a été juge au tribunal des Prud'hommes. Cet entretien commence au temps 00:26:00 du fichier numérique 0014_a.

Repérage des sujets principaux (2ème partie/2)
00:00:00 à 00:09:00 : Sur l'obtention des vacances et l'ingratitude des jeunes générations - sur le fonctionnement du syndicat - licenciements des Suisses et maintien des Français qui étaient payés moins, "maintenant le délégué, il se dérange même pas", "un mec, c'est comme un élevage de fleurs sur une armoire", le secrétaire syndical ne s'étant pas déplacé, ils ont agi d'eux-mêmes - sur la solidarité entre corps de métier - sur l'influence de la paix du travail - sur les conventions collectives - question du nombre de syndiqués et de l'inquiétude du patronat;
00:09:00 à 00:18:00 : La question de la centrale de Zurich, surveillance anonyme par la centrale - Lucien Tronchet était convoqué à Zurich, il n'y allait pas, leur proposait à eux de venir - Récit de l'assaut à l'aéroport de Cointrin - ouvriers importés de Fribourg payés la moitié moins du salaire, les gendarmes disaient : "cassez le matériel mais cassez-nous pas la gueule" disaient les gendarmes, obtention de la convention collective grâce à cette action - obligation d'user de la force contre la force - efficacité de l'action sur le chantier de la Société des Nations - les vacances, les jours fériés, grâce aux bagarres;
00:18:00 à 00:26:00 : les patrons se volaient des ouvriers - la différence entre les premiers saisonniers et ceux d'après - crise économique, les licenciements - protéger la Migros à la rue du Prince.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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