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Interview de Fernand Ottone, marchand de bois (1ère partie/2)

Interview de Fernand Ottone, marchand de bois, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien 00:20:35).

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/2 et 2/2) :
Dans ce court entretien Fernand Ottone explique avec précision les activités du marchand de bois. Il décrit les moments propices pour l'abattage et les techniques de séchage et de stockage, ce qui amène Christiane Wist à comparer cette activité à celle des marchands de vin, les deux ne font pas que conserver, mais soignent leur produit. Il compare les essences et évoque la question des prix et du transport.

Sujets principaux - segments temporels (Partie 1/2) :
00:00:00 à 00:09:00 : Autour de l'origine et du transport du bois - Abus dans l'exploitation des bois en Afrique - Explication des différentes étapes de l'approvisionnement de bois - Différences dans le poids porté par les hommes - Soin apporté aux grumes: le bois peut se déprécier ou se valoriser - Associer les arbres de différentes formes - "Comme les vins on ne fait pas que les conserver, on doit les soigner" - Le marchand a la responsabilité de les soigner - Achat de bois frais et stockage selon des modalités précises - A l'époque, moments plus favorables pour l'abattage - abattre à la hache ou au passe-partout (scie à deux mains) - "Avant on tirait les bois, (...) même s'il y avait 1 mètre 50 de neige, avec les chevaux";
00:09:00 à 00:18:52 Moment de l'abattage presque imposé: au moment ou la sève est en bas, de novembre à mars - Bois de charpente abattu toute l'année, car difficile de constituer des réserves pour la demande constante - Les bois de sève deviennent bleus, pas d'altération du bois mais destinés à la peinture - Certains bois rouges et le sapin blanc contiennent beaucoup d'eau à l'état frais: conséquences sur les efforts nécessaires au transport: « Ce bois flotte à peine à l'état frais » - Différences entre les sapins - Bois de coffrage composé des bois les plus ordinaires, débités en 4 cm d'épais et livré tout frais, lui-même ne pratique pas ce bois - Prix peut aller du simple au double selon la qualité pour une même essence - Le débiteur ou le traceur a un travail très important: il y a 30 % du bois qui disparaît dans la nature quand on découpe des petites planche - Évolution des scies.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (1ère partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 15.10.1986 (1ère partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l'Association des Mères Chefs de Famille et Familles monoparentales avec la participation d' Anne-Marie Schopfer, au sondage Remue-ménage, à l'interview d' Yvette Mottier en marge de l'exposition "La femme dans l'Egypte des pharaons", à l'appel pour une journée mondiale d'action sur le travail domestique, à l'agenda social et culturel et l'alimentation équilibrée (Durée totale: 02:36:52).

Résumé
Partie 1/4: présentation de l'émission (33:00-34:00), sommaire (35:00-36:50), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interviews de plusieurs protagonistes de la manifestation du 9 novembre 1932 (1ère partie/2)

Interviews de plusieurs protagonistes de la manifestation du 9 novembre 1932 - Lucien Tronchet, anarchiste et syndicaliste, Milo Lüscher, socialiste, Francis Baeriswyl, socialiste, René Fisch, de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC), Louis Soldini, socialiste, Charles Knecht, inspecteur de sûreté, Ernest Rogivue, caporal de la 1ère Compagnie de l'Ecole de recrue 3/1, Raymond Burnat, commandant de la 1ère Compagnie et Maxime Chalut, recrue de la 1ère Compagnie. Ces interviews ont été réalisées à l'Ecole technique supérieur de Genève par Georges Klièbes et Richard Gaudet avec le concours des opérateurs Jean Frey et José [?] (Durée totale de l'entretien: 01:17:56).
Période évoquée : 1932

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation des témoins, buts de la manifestation, préparatifs, déroulement des événements devant la salle communale de Plainpalais et devant le palais des exposition, la fusillade, ses conséquences, les responsabilités.

Repérage des sujets principaux (1ère partie/2)
00:00-01:26 présentation des personnes interviewées;
01:27-07:30 Premièrement, les témoins se présentent, politiquement, et énoncent les buts de la manifestation:
01:45- L. Tronchet, 02:35- M. Lüscher, 03:45- F. Baeriswyl, 04:10- R. Fisch, 05:15- L. Soldini, 05:45- Ch. Knecht, 06:15- E. Rogivue, 06:40- R. Burnat, 06:50- M. Chalut;
07:30- 24:45 Deuxièmement, la manifestation de l'Union nationale, les réactions et les préparatifs dans les groupes:
07:40- L. Tronchet, 08:45- M. Lüscher, 09:25- F. Baeriswyl, 13:05- R. Fisch, 13:35- L. Soldini, 15:05- Ch. Knecht, 17:15- E. Rogivue, 18:45- R. Burnat, 20:20- M. Chalut;
25:45-32:55 Troisièmement, devant la salle communale de Plainpalais:
25:50- L. Tronchet, 27:30- M. Lüscher, 29:30- F. Baeriswyl, 30:40- R. Fisch, 31:40- L. Soldini, 32:45- Ch. Knecht, 06:15;
32:55- Quatrièmement, l'arrivée des soldats, l'attaque, la présence ou non de groupes organisés:
33:05- L. Tronchet, 34:40- M. Lüscher, 37:15- F. Baeriswyl, 39:10- R. Fisch, 40:30- L. Soldini, 41:05- Ch. Knecht, 42:15- E. Rogivue, 46:15- R. Burnat.

Tronchet, Lucien; interviewé/e

Interviews de plusieurs protagonistes de la manifestation du 9 novembre 1932 (2ème partie/2)

Interviews de plusieurs protagonistes de la manifestation du 9 novembre 1932 - Lucien Tronchet, anarchiste et syndicaliste, Milo Lüscher, socialiste, Francis Baeriswyl, socialiste, René Fisch, de la Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC), Louis Soldini, socialiste, Charles Knecht, inspecteur de sûreté, Ernest Rogivue, caporal de la 1ère Compagnie de l'Ecole de recrue 3/1, Raymond Burnat, commandant de la 1ère Compagnie et Maxime Chalut, recrue de la 1ère Compagnie. Ces interviews ont été réalisées à l'Ecole technique supérieur de Genève par Georges Klièbes et Richard Gaudet avec le concours des opérateurs Jean Frey et José [?] (Durée totale de l'entretien: 01:17:56).
Période évoquée : 1932

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation des témoins, buts de la manifestation, préparatifs, déroulement des événements devant la salle communale de Plainpalais et devant le palais des exposition, la fusillade, ses conséquences, les responsabilités.

Repérage des sujets principaux (2ème partie/2)
00:00-14:40 Cinquièmement, devant le palais des expositions, la fusillade:
00:10- L. Tronchet, 02:25- M. Lüscher, 05:10- F. Baeriswyl, 06:15- Ch. Knecht, 07:10- E. Rogivue, 11:20- R. Burnat;
14:40-28:45 Sixièmement, les responsabilités:
14:45- L. Tronchet, 15:20- M. Lüscher, 17:00- F. Baeriswyl, 17:45- R. Fisch, 19:20- L. Soldini, 20:35- Ch. Knecht, 23:20- E. Rogivue, 25:05- R. Burnat, 26:30- M. Chalut;
28:45-29:05 Auteurs des interviews.

Tronchet, Lucien; interviewé/e

Interview de Fernand Ottone, marchand de bois (2ème partie/2)

Interview de Fernand Ottone, marchand de bois, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien 00:20:35).

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/2 et 2/2) :
Dans ce court entretien Fernand Ottone explique avec précision les activités du marchand de bois. Il décrit les moments propices pour l'abattage et les techniques de séchage et de stockage, ce qui amène Christiane Wist à comparer cette activité à celle des marchands de vin, les deux ne font pas que conserver, mais soignent leur produit. Il compare les essences et évoque la question des prix et du transport.

Sujets principaux - segments temporels (Partie 2/2) :
00:00:00 à 00:01:43: Mention des artisans qui produisent des chefs d’œuvre.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (2e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 15.10.1986 (2e partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à l'Association des Mères Chefs de Famille et Familles monoparentales avec la participation d' Anne-Marie Schopfer, au sondage Remue-ménage, à l'interview d' Yvette Mottier en marge de l'exposition "La femme dans l'Egypte des pharaons", à l'appel pour une journée mondiale d'action sur le travail domestique, à l'agenda social et culturel et l'alimentation équilibrée (Durée totale: 02:36:52).

Résumé
Partie 2/4: interview d' Anne-Marie Schopfer, permanente de l'Association des Mères Chefs de famille et Familles monoparentales (AMCF) (00:10-5:10, 05:50-10:40), question par téléphone et réponse (12:30-15:00, 15:45-19:10, 20:00-23:15, 24:35-28:00, 31:40-34:40), sondage ironique "Remue-ménage" lancé par Ménage-toi sur la base d'un article de Madame Figaro (41:35-43:35, 44:15-45:30, 45:50-46:10, 46:25-47:20), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d' Armand Magnin, ouvrier, puis journaliste, militant du Parti du travail (3e partie/4)

Interview d'Armand Magnin, ouvrier à Similor, puis journaliste à la Voix ouvrière, militant du Parti du travail, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:45:28).
Période évoquée: 1930-1980

Aperçu des thèmes (Parties 1/4, 2/4, 3/4 et 4/4) :
Armand Magnin, né à Fribourg en 1920, s’établit avec ses parents à Genève en 1931. Il évoque son entrée dans le monde du travail dans les années 1930, son activité d’ouvrier semi-qualifié à Similor, une usine de robinetterie, entre 1937 et 1954. Il décrit l’usine, l’organisation de la production, les conditions d’hygiène et de sécurité, la faible présence de femmes et l’arrivée des premiers travailleurs étrangers. Il détaille les revendications ouvrières, en particulier celles liées au salaire aux pièces. Il évoque aussi les horaires, les jours fériés et l’assurance maladie collective conclue à travers le syndicat FOMH.
Magnin présente ensuite les luttes syndicales dans la métallurgie genevoise des années 40 et 50, et notamment la grève de 1949. Il mentionne ses activités au sein de la commission ouvrière de Similor, dont il est président, et son action au sein de la FOMH, dont il sera exclu conjointement à d’autres militants communistes. Il parle de la manifestation anticommuniste du 7 novembre 1956, à la suite de l’entrée des troupes soviétiques à Budapest, au cours de laquelle l’imprimerie de la Voix ouvrière fut prise pour cible.
Député du Parti du travail dès 1945, Magnin revient sur l’histoire du Parti socialiste genevois de Léon Nicole dans les années 1930, puis sur la fondation du Parti du travail et son implantation dans les entreprises. Il signale également la collaboration avec les organisations d’immigrés italiens et espagnols.
Magnin donne des précisions sur sa jeunesse, sur sa famille – son frère aîné, militant socialiste puis communiste- et sur son milieu social. Il revient sur ses loisirs et en particulier ses activités sportives – champion suisse de tennis de table, football avec l’Union sportive de Carouge et avec le Satus, excursions et ski avec les Amis de la nature, et de manière plus surprenante, sa pratique du golf. Il explique les particularités des associations sportives ouvrières, créées en réaction aux fédérations contrôlées par la bourgeoisie.
Il revient alors sur les luttes menées pour le droit à deux puis trois semaines de vacances, au cours desquels partis de gauche et syndicats n’ont pas toujours œuvré de concert.
Enfin, il reparle de son enfance, de sa scolarisation (au « Grutli ») et de ses premières expériences professionnelles alors qu’il est encore écolier. Il mentionne divers lieux emblématiques de la sociabilité ouvrière (cafés, salles de réunion) et leur disparition dans l’après-guerre.
Il termine en évoquant brièvement ses conflits avec Lucien Tronchet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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