Showing 215 results

Archival description
Collège du Travail, Genève; producteur/trice French
Advanced search options
Print preview View:

2 results with digital objects Show results with digital objects

Ménage-toi - Emission 05.11.1986 (4ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la quinzaine sur le parascolaire organisée par la Maison de quartier de la Jonction, à une chronique sur la valorisation du travail domestique, à un spectacle de contes proposé par Camille Bierens de Haan et Murielle Bloch, à l'agenda social et culturel et à la valeur diététique des fibres alimentaires (Durée totale: 02:05:05).

Résumé
Partie 4/4: suite de l'agenda de Ménage-toi: parution du livre de Laurence Deonna "La guerre à deux voix", atelier sur la ménopause, service de baby-sitting de l'Association monoparentale et des mères chefs de famille, programme du 5e Congrès international des médecine naturelle, film sur les femmes au Nicaragua de Kristina Konrad et Gabrielle Baur, soirée de soutien aux activités de l'OSEO au Nicaragua, conférence sur les femmes dans l'art au Musée d'art et d'histoire, manifestation contre les expulsions de demandeurs d' asile le 6.11.1986 à la place Neuve, permanence téléphonique de l'association Viol-Secours (00:05-09:25), rubrique de Jacqueline Berenstein-Wavre "Femmes et nourriture": intervention de la diététicienne Aline Robert sur la question des fibres alimentaires (14:35-15:00, 18:30-22:45), réalisation de l'émission: Marianne Aerni, Jacqueline Berenstein-Wavre et Alda De Giorgi (24:40-25:05), annonce "Onde femme, une radio pour elle" le mercredi sur Radio Zone (25:25-25:40, 25:50-26:05), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 05.11.1986 (3ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la quinzaine sur le parascolaire organisée par la Maison de quartier de la Jonction, à une chronique sur la valorisation du travail domestique, à un spectacle de contes proposé par Camille Bierens de Haan et Murielle Bloch, à l'agenda social et culturel et à la valeur diététique des fibres alimentaires (Durée totale: 02:05:05).

Résumé
Partie 3/4: suite des contes de Camille Bierens de Haan et de Murielle Bloch (01:25-09:30, 11:25-19:05), explication sur leurs démarches de conteuses et sur la genèse du spectacle monté à l'occasion du 450e anniversaire de la Réforme (20:05-23:50), appel aux auditrices (29:00-29:45), l'agenda culturel et social de Ménage-toi avec entre autres la conférence de Sabine Estier sur les femmes et la politique organisée par l'Association des droits de la femme (30:00-30:40), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de René de Motz, menuisier charpentier et enseignant (2ème partie/2)

Interview d'un menuisier charpentier enseignant, René de Motz, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:02:42).
Période évoquée: 1920-1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/2 et 2/2) :
Dans cet instructif entretien semi-dirigé, René de Motz menuisier charpentier devenu enseignant, s'exprime sur la durée de l'expérience professionnelle qui s'est réduite avec la retraite et le fait d'entrer dans la vie professionnelle plus tardivement. Il parle du consensus tacite qui existait chez les jeunes pour soulager les plus vieux des travaux pénibles. Il dit aussi à ce sujet « […] ces gens-là travaillaient jusqu'au bout, si bien que moi à vingt ans j'ai travaillé avec des gens qui avaient 85 ans, mais qui avaient un idéal professionnel et puis surtout qui avaient cultivé l'habileté manuelle à un stade que l'on ne connaîtra plus. Ils avaient une expérience professionnelle qui s'étendait sur toute leur existence [...] ». Sur la formation des ouvriers il dit: « Disons que la population professionnelle il y a un siècle, elle était composée à peu près de moitié de gens non particulièrement qualifiés, mais qui avaient un esprit du bois (...) on pourrait dire que c'était la civilisation du bois ». René de Motz est la troisième génération de sa famille dans les métiers du bois. Il aurait voulu faire avocat, mais il y avait des nécessités économiques. Il a fait son apprentissage à l’École des Arts et Métiers. Il a pratiqué de 18 à 32 ans. Il s'est ensuite engagé dans l'enseignement en tant que maître de fabrication, pour ensuite enseigner à l’École d'ingénieur, où il a enseigné la statique. A soixante ans, il a pris sa retraite et s'est occupé de litiges dans le domaine. Au niveau de la formation, on pouvait considérer que la menuiserie était le tronc commun, la charpente c'était pour la construction et l'ébéniste pour la décoration. Il évoque les nombreuses démolitions de fermes. Il parle des tendances long terme sur les techniques de charpente. Il estime que jusqu'à la fin du 19e siècle, nos sociétés avaient une culture "rurale et du bois". A partie des années 1930, la ville s'est alors construite en béton. Il raconte la façon dont les patrons se sont organisés pour tenter de relancer la construction en bois en proposant des villas préfabriquées destinées à des logements sociaux. Sur la mécanisation, il dit des gens qui maniaient les premières machines qu'ils étaient un peu comme les premiers aviateurs.
Parmi les autres sujets traités, on trouve les méthodes pour scier du bois de long, les constructions de baraquements pendant la guerre pour les Français et les Allemands, le commerce du bois tordu pour les bateaux, le travail du bois dans les premières voitures ou encore le travail de coffrage.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 05.11.1986 (2ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la quinzaine sur le parascolaire organisée par la Maison de quartier de la Jonction, à une chronique sur la valorisation du travail domestique, à un spectacle de contes proposé par Camille Bierens de Haan et Murielle Bloch, à l'agenda social et culturel et à la valeur diététique des fibres alimentaires (Durée totale: 02:05:05).

Résumé
Partie 2/4: téléphone d'une auditrice - Jacqueline Berenstein-Wavre! - à propos des horaires scolaires, remarque sur l'émetteur de Radio-Zone (08:40-10:05), commentaire de Marianne Aerni sur les choix musicaux de Ménage-toi - privilégier des musiques de femmes, appel aux auditrices (10:50-11:35), chronique cosmique "Remue-ménage" par Alda de Giorgi en faveur de la reconnaissance de la valeur du travail ménager (11:35-19:30), rejet des propositions du parti Vigilance stigmatisant les personnes porteuses du SIDA (19:50-20:05), interview de Camille Bierens de Haan et de Murielle Bloch qui présentent leur spectacle de contes "Récits et musiques pour deux siècles hérétiques" monté à "La Traverse" à l'occasion du 450e anniversaire de la Réforme, puis elles récitent quelques contes (27:40-30:20), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un peintre en bâtiment et plâtrier, Ernest Kolly - le personnage N - et de sa femme (1ère partie/1)

Interview d'un peintre en bâtiment et plâtrier, Ernest Kolly - le personnage N - et de sa femme, , par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:30:15).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/1):
Il explique un premier acte qui marque ses convictions libertaires: il a refusé de payer les dix francs demandés pour recevoir son diplôme de peintre. Il n'a donc jamais eu de copie de son diplôme. Il raconte sa participation aux luttes contres les évacuations, le "kilo du chômeur", les réunions du groupe anarchiste à la rue Coutance, sa participation à la Ligue d'action du bâtiment (LAB). Il parle de l'élaboration du journal Le Réveil anarchiste qui se vendait le samedi après-midi dans les rues de Genève. Il dit que Luigi Bertoni est mort dans la misère. Il parle de la personnalité de Lucien Tronchet, "il était très personnel", il dit que des personnes ont été évincées de groupements par lui. Ils discutent de la problématique de la mémoire de la Ligue d'action du bâtiment (LAB) et de la Fédération des ouvriers sur bois et de bâtiment (FOBB) trop centrée sur une seule personne. Après un accident de pont-volant, il a bénéficié d'un arrangement que son patron a trouvé avec un autre patron peintre en bâtiment: par une astuce, il réussissait à lui payer la différence avec le salaire qu'il aurait touché si il avait travaillé à 100%. Sa femme est allée travailler en dehors du foyer après l'accident.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de René de Motz, menuisier charpentier et enseignant (1ère partie/2)

Interview d'un menuisier charpentier enseignant, René de Motz, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:02:42).
Période évoquée: 1920-1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/2 et 2/2) :
Dans cet instructif entretien semi-dirigé, René de Motz menuisier charpentier devenu enseignant, s'exprime sur la durée de l'expérience professionnelle qui s'est réduite avec la retraite et le fait d'entrer dans la vie professionnelle plus tardivement. Il parle du consensus tacite qui existait chez les jeunes pour soulager les plus vieux des travaux pénibles. Il dit aussi à ce sujet « […] ces gens-là travaillaient jusqu'au bout, si bien que moi à vingt ans j'ai travaillé avec des gens qui avaient 85 ans, mais qui avaient un idéal professionnel et puis surtout qui avaient cultivé l'habileté manuelle à un stade que l'on ne connaîtra plus. Ils avaient une expérience professionnelle qui s'étendait sur toute leur existence [...] ». Sur la formation des ouvriers il dit: « Disons que la population professionnelle il y a un siècle, elle était composée à peu près de moitié de gens non particulièrement qualifiés, mais qui avaient un esprit du bois (...) on pourrait dire que c'était la civilisation du bois ». René de Motz est la troisième génération de sa famille dans les métiers du bois. Il aurait voulu faire avocat, mais il y avait des nécessités économiques. Il a fait son apprentissage à l’École des Arts et Métiers. Il a pratiqué de 18 à 32 ans. Il s'est ensuite engagé dans l'enseignement en tant que maître de fabrication, pour ensuite enseigner à l’École d'ingénieur, où il a enseigné la statique. A soixante ans, il a pris sa retraite et s'est occupé de litiges dans le domaine. Au niveau de la formation, on pouvait considérer que la menuiserie était le tronc commun, la charpente c'était pour la construction et l'ébéniste pour la décoration. Il évoque les nombreuses démolitions de fermes. Il parle des tendances long terme sur les techniques de charpente. Il estime que jusqu'à la fin du 19e siècle, nos sociétés avaient une culture "rurale et du bois". A partie des années 1930, la ville s'est alors construite en béton. Il raconte la façon dont les patrons se sont organisés pour tenter de relancer la construction en bois en proposant des villas préfabriquées destinées à des logements sociaux. Sur la mécanisation, il dit des gens qui maniaient les premières machines qu'ils étaient un peu comme les premiers aviateurs.
Parmi les autres sujets traités, on trouve les méthodes pour scier du bois de long, les constructions de baraquements pendant la guerre pour les Français et les Allemands, le commerce du bois tordu pour les bateaux, le travail du bois dans les premières voitures ou encore le travail de coffrage.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 05.11.1986 (1ère partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la quinzaine sur le parascolaire organisée par la Maison de quartier de la Jonction, à une chronique sur la valorisation du travail domestique, à un spectacle de contes proposé par Camille Bierens de Haan et Murielle Bloch, à l'agenda social et culturel et à la valeur diététique des fibres alimentaires (Durée totale: 02:05:05).

Résumé
Partie 1/4: présentation de l'émission (00:00-01:05), sommaire (02:40-04:40), interview de Patricia, animatrice à la Maison de quartier de la Jonction qui présente les activités et les conférences organisées dans le cadre de la quinzaine sur le parascolaire et les crèches (10:00-11:35, 12:00-14:40, 17:55-20:00, 20:30-25:30), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Des apprenti-e-s aux commandes

Des apprenti-e-s à la filiale postale de Prilly, entièrement gérée par quatorze apprenti·e·s gestionnaires du commerce de détail, exécutant leurs tâches quotidiennes ; explications sur le fonctionnement et l'organisation de la filiale et le rôle des formateurs et formatrices d'apprenti-e-s ; séquences individuelles avec les apprenti-e-s et la formatrice sur le déroulement de la formation professionnelle.

Dominicé, Katharine; réalisatrice

Interview d'Antonio Lo Conte

Interview filmée d'Antonio Lo Conte (né le 24.5.1947 dans la province d'Avelino, Italie), maçon, saisonnier à Genève dès mars 1967. Réalisé par Katharine Dominicé.
Période évoquée: 1967-2007 principalement.

Lo Conte, Antonio; interviewé/e

Interview de Franz Aschwanden, menuisier et musicien (3ème partie/3)

Interview de Franz Aschwanden, menuisier et musicien, trimardeur par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:36:29).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3, 3/3) :
Il s'agit d'un entretien classique de cette série et un autre en deux parties effectués pour l'émission de radio la Voix des Vétérans. Le second recoupe les sujets du premier et est agrémenté de musique à bouche. Une particularité de cet entretien est de traiter de la pratique du trimardage, le fait de "vagabonder" au bord des routes, par nécessité ou par plaisir.

Repérage des sujets principaux (Partie 3/3)
00:00:00 Il est autodidacte en claquettes, acheté à Lucerne ses claquettes. A joué dans les sociétés et certains hôtels à Genève. Mais ensuite a préféré rester avec sa bonne amie;
00:01:40 Musique à bouche et claquettes;
00:03:40 Qu'est-ce que le krauter ? - La musique à bouche s'emmène partout. Mais lors de son premier séjour en Suisse romande, il n'avait rien. - Bulle dans l'harmonie, Lausanne dans l'instrumental. - Dans la jeunesse, de la musique à bouche avec ses frères et son père;
00:05:40 Trimarder : vagabonder au bord des routes. Quand on a pas de travail ou juste par plaisir. Quand il y avait 2-3 jours de beau. Apprentissage avec un spécialiste de la pose qui aimait boire. Balade et boire un verre. Mais il supportait pas l'alcool;
00:07:50 Mais son copain poseur s'ennuyait sans lui. - Son copain n'osait pas aller sur les ponts volants;
00:08:30 Arrivée en Suisse romande. A quitté Zweisimmen où il a travaillé avec un Lucernois. Dernier moment pour apprendre le français à 24 ans. - Mois de mars à l'hôtel Dupont à Montreux, a marché depuis Zweisimmen, Oberland bernois jusqu'à Montreux. - Mais n'a pas trouvé de travail. Est allé à Lausanne en train;
00:10:18 Attente à Lausanne pour du travail. - Tous les trimardeurs à la Riponne. - Il a expliqué la situation. Hotel Mayerisli, puis hôtel Dupont. - Dimanche y'avait bal, 3 jours, souper déjeuner. - Allait au bureau de placement à la Palud. - Chaque heure, il retournait. - Ils cherchaient un menuisier de la Vallée de Joux. Qu'il vienne à huit heures, j'irai le chercher à la gare. Dans cette usine, petite menuiserie, que une scie a ruban et scie circulaire. Seuls avec un copain, tout à la main;
00:13:30 Travail à la main. A appris le français. A la maison, à table on lui racontait des conneries, "une petite crouille de petite grand-mère". Elle riait tellement qu'elle se mettait parterre. A acheté six livres, au bout de six mois il parlait pas mal le français;
00:15:30 Il n'est pas allé à l'école secondaire. Il allait sur une pile de planche au soleil pour apprendre le français;
00:16:30 Il a eu deux maîtresses pour apprendre le français;
00:17:22 Il raconte une anecdote sur une chaise de prière. A réussi à la réparer, puis l'a donnée à un tapissier;
00:18:30 Musique à bouche. 3 morceaux; Il joue une composition personnelle. Elle tape des mains;
00:26:27 Il a joué avec la philharmonie italienne. Un grand monsieur de Lausanne est mort. Il a dû remplacer des cymbales au pied levé alors qu'il en avait jamais joué. Il a l'oreille;
00:27:53 Musique française à la musique à bouche;
00:39:07 Il va chercher son billet pour aller à la réunion de classe de 1901, 1902, 1903. Il reste environ 17 personnes qui vivent encore. 5 garçons et 12 femmes. Course sur le Rigi.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Results 91 to 100 of 215