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Collège du travail, Genève Collection d'enregistrements sonores Collège du Travail, Genève; producteur/trice Genève
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La Voix des vétérans - Emission 7 (1ère partie/2)

Emission de radio consacrée au monde ouvrier genevois dans l'entre-deux guerre. (Durée totale: 01:00:25)

Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview de Charles Pellegrini en direct.
L'enfance, la jeunesse et la crise.
Musique: Quelques disques de chansons de l'entre-deux-guerres
Réalisation: Christiane Wist.
Assistance technique pour le direct: Marianne Aerni.

La partie 2/2 commence par la suite de l'interview de Charles Pellegrini (soutien de la loge Floréal aux excursions en montagne des jeunes ouvriers).

Wist, Christiane; animateur/trice

Interview de Louisa Vuille, ouvrière horlogère (1ère partie/3)

Interview de Louisa Vuille, ouvrière horlogère, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:35:03).
Période évoquée: 1910-1950

Aperçu des thèmes (Parties 1/3, 2/3 et 3/3) :
Louisa Vuille, née en 1901 à Villeret dans le Jura bernois, évoque son enfance et son apprentissage d’ouvrière horlogère à La Chaux-de-fonds, puis ses conditions de vie et son parcours professionnel après son installation à Genève en 1918 (à Chêne-Bourg, puis à Chêne-Bougeries).
Elle explique les différentes étapes de la fabrication d’une montre, la manière dont le travail était organisé et les tâches respectives des hommes et des femmes (spiral, réglage, retouche, terminage). Elle parle du travail à domicile, en compagnie de son père également horloger, ainsi que les ateliers successifs où elle a travaillé après le décès de son père (entre autres Helbein, Rolex 1929-1939, Niton). Elle revient sur sa première expérience syndicale, la dénonciation des conditions de travail subies par les ouvrières vérifiant l’étanchéité des montres chez Rolex.
Elle évoque également brièvement sa vie personnelle, ses problèmes de santé, son mariage et les difficultés de sa vie de couple, son choix de travailler à 50% et ses conséquences.
De 1941 à 1943, elle s’établit à Annemasse et travaille dans l’atelier Niklès, qui emploie de nombreux déplacés français provenant du Doubs.
En filigrane de sa vie professionnelle transparaissent parfois ses activités syndicales et son engagement politique, chez les femmes socialistes genevoises dans l’entre-deux-guerres, puis au Parti du travail et à la FOMH après la Deuxième Guerre mondiale. Elle est également experte à la Commission d’apprentissage de l’Ecole d’horlogerie.
Louisa Vuille revient également sur sa participation à plusieurs sociétés ouvrières, en particulier à la Chorale populaire l’Avenir (activités, fonctionnement, répertoire) et plus brièvement sur sa pratique de l’esperanto et sa participation au groupe de théâtre L’Effort (principalement dans la 2e partie/3). Elle évoque également certaines activités de loisirs (musique et concerts).
Détaillant les conditions de travail et leur évolution, notamment sur le plan des horaires, elle termine sur l’évocation de ses premières vacances à l’étranger (Espagne, France, Italie).

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Charles Pellegrini, colleur de papier peints (1ère partie/1)

Interview de Charles Pellegrini, colleur de papiers peints, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:24:18).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Partie 1/1):
Dans ce court entretien, Charles Pellegrini raconte les techniques utilisées dans le métier de colleur de papiers peints. Il décrit une période à Genève où il y avait plus de 6 000 logements vacants, et où les régisseurs faisaient appel aux colleurs de papier peint pour augmenter les chances de louer. Il parle de la nécessité pour les ouvriers de posséder leurs outils (ciseaux, fil à plomb, spatule, échelle, table pliante, bidons). Il relate à ce sujet, l'apparition dans les années 1930, de la règle d'acier et du sabre et de l'importance pour les colleurs de se les procurer. Le transport de ce matériel se faisait à bicyclette. Il énumère les différents types de colles et leur utilisation ("poisson", farine blanche et bise, farine de seigle, dextrine). Il explique comment les ouvriers syndiqués se sont organisés pour obtenir de la farine blanche pendant la guerre. Il décrit les méthodes de fabrication des papiers peints (chablon sur planche de bois) et les spécificités des papiers produits par la maison Grandchamp et Cie à Genève. Il relate les travaux de fantaisie pour les riches avec leur papier tissé de trames de soie. Il raconte la concurrence de prix des produits importés. Il raconte enfin les travaux entrepris à l'hôtel Cornavin en 1931 ainsi que la destruction de l'Hôtel du Siècle à l'aide de boulets lancés depuis une grue.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 01.10.1986 (1ère partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la question du travail domestique et au colloque organisé en 1985 par le Collège du travail, interview de Alda De Giorgi qui en était une des animatrices, à la présentation du livre d'Annie Ernaux "La place" par Barbara Conrad, à l'agenda culturel et politique, à une interview de Anne de Herdt sur l'exposition "Brun de Versoix et les amazones" et à un appel de Jacqueline Berenstein-Wavre au boycott par les consommatrices genevoises des produits sud-africains (Durée totale: 02:02:06 ).

Résumé
Partie 1/4: sommaire de l'émission (01:25-03:05), [plage non enregistrée 06:05-07:10], interview de Alda De Giorgi, sur l'intérêt que le Collège du travail porte à la question du travail domestique: les recherches et revendications contemporaines, l'exemple du Québec et de Louise Vandelac, les colloques organisés par le Collège du travail en 1983 et en 1985 (11:00-18:40, 21:35-25:50, 28:40-31:20), musique, chansons féministes.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 24.09.1986 (4ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la formation professionnelle et au travail des femmes à l'occasion de la votation sur l' initiative populaire pour la formation professionnelle et un recyclage garanti lancée par le Parti socialiste ouvrier (PSO), à une interview d'une jeune employée de banque, au sketch radiophonique "Remue-méninge" créé par Alda De Giorgi et aux enjeux de la votation sur sur "l'arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène" (Durée totale: 02:04:30).

Résumé
Partie 4/4: rubrique de Jacqueline Berenstein-Wavre "Femmes et nourriture": à l'occasion de la votation sur "l' Arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène", elle revient sur les enjeux du projet ainsi que sur le rôle du sucre dans l'alimentation (06:50-13:20), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 24.09.1986 (3ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la formation professionnelle et au travail des femmes à l'occasion de la votation sur l' initiative populaire pour la formation professionnelle et un recyclage garanti lancée par le Parti socialiste ouvrier (PSO), à une interview d'une jeune employée de banque, au sketch radiophonique "Remue-méninge" créé par Alda De Giorgi et aux enjeux de la votation sur sur "l'arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène" (Durée totale: 02:04:30).

Résumé
Partie 3/4: "Remue-ménage: des histoires à détraquer vos électroménagers" sketch radiophonique créé par Alda De Giorgi à partir du courrier des lecteurs d'un grand quotidien genevois (09:30-09:40, 10:10-11:40, 12:05-13:35, 14:10-15:50, 20:40-20:50), agenda culturel et social avec entre autres: conférences, ateliers d'écriture, manifestations, concerts de solidarité, Centre F-Information (21:15-30:30), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 24.09.1986 (2ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la formation professionnelle et au travail des femmes à l'occasion de la votation sur l' initiative populaire pour la formation professionnelle et un recyclage garanti lancée par le Parti socialiste ouvrier (PSO), à une interview d'une jeune employée de banque, au sketch radiophonique "Remue-méninge" créé par Alda De Giorgi et aux enjeux de la votation sur sur "l'arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène" (Durée totale: 02:04:30).

Résumé
Partie 2/4: suite de l'interview de Christine Tulle Misteli, membre du Parti socialiste ouvrier (PSO), enseignante au SEPIA et militante de l'Association de défense des chômeurs (ADC) à propos de l' Initiative du PSO, de la formation professionnelle, des places d'apprentissage et du travail des femmes (00:20-04:40, 05:25-09:35), interview de Brigitte, une employée de banque âgée de 26 ans qui parle de son apprentissage d'employée de commerce et de son parcours professionnel (13:10-18:20, 20:50-28:15, 29:50-30:10), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Maxime Chalut, ancien président du SATUS (2e partie/2)

Interview de Maxime Chalut, ancien président du club sportif ouvrier SATUS de Genève, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:18:55).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Maxime Chalut rend compte des activités organisées par la Fédération de football ouvrier SATUS à Genève dans l’entre-deux-guerres (adhésion en 1928). Il mentionne également certaines activités culturelles, dont le Théâtre prolétarien auquel participait William Jaques, les chorales et les fanfares ouvrières dont La Lyre, dirigée par F. Closset. Il parle de son rôle dans l’organisation de la classe ouvrière, des différences entre les associations sportives et culturelles ouvrières et celles liées à la bourgeoisie. Parmi les autres sports ouvriers : la gymnastique, le ski, le vélo. Par contre, le hockey sur glace, qui avait lieu sur des patinoires naturelles (terrain de tennis, marais gelé), n’entrait pas en ligne de compte.
Maxime Challut raconte sa passion pour le football et la manière dont se passait le jeu, les préparatifs, la vie associative et la sociabilité festive (bals, lotos, margotins). Il évoque les valeurs des sportifs ouvriers, le rôle de la compétition, le rapport à l’armée et au service militaire. Il parle brièvement du 9 novembre 1932 et de son refus de participer à l’intervention de l’armée (4 jours de prison) ainsi que de la fabrication de composants d’armes par les industries de la métallurgie genevoise (Charmilles, Hispano, Gardy, SIP).
A divers moments, Maxime Challut parle de son enfance à Lancy, aux Acacias, puis à Carouge, de la maladie de son père (tuberculose), de ses souvenirs d’école et de ses conditions de vie. En fin d’interview, il revient sur son apprentissage et son activité d’électricien aux Services industriels de Genève. Il évoque notamment les conditions salariales au début des années 1930. Il parle aussi des premières cuisinières électriques et des débuts de la radio, qui le passionne.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Paul Lichtenberg, ferreur (2e partie/2)

Interview de Paul Lichtenberg, ferreur, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:59:36).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/2 et 2/2) :
Paul Lichtenberg raconte en détails les techniques du métier de ferreur et les raisons pour lesquelles il a choisi et aimé ce métier de « libre ». La discussion traite notamment des questions de rémunération à l'heure ou à la pièce, des actions des travailleurs français contre le travail des Suisses en France en 1923, des relations entre les collègues ferreurs et avec les serruriers et les autres corps de métier, ainsi que du vélo comme moyen de transport professionnel. Il est aussi question des ponts-volants, des rapports avec les patrons, du travail chez les riches pendant la crise ainsi que de la modification du travail avec la production de pièces normalisées en série.

Sujets principaux - segments temporels : (2e partie/2)
00:00:00 à 00:09:00 : Grand-père était Maître serrurier, a dû arriver autour de 1850, avait pignon sur rue à la Rue Rousseau 20 – le frère du grand-père installé avec une serrurerie à Marseille, changement de nom de Lichtenberg à Clairemont - ferreur, un beau métier, « si je voulais partir aux champignons, j'y allais ».

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Pierre Riondel, ingénieur technicien (2ème partie/2)

Interviews d'un ingénieur-technicien, Pierre Riondel, par Alda de Giorgi et Eric Golay (Durée totale de l'entretien: 01:30:00).
Période évoquée: 1957-1993 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/5 à 2/5) :
Après avoir obtenu son diplôme au Technicum à Genève en 1948, cet ingénieur, né en 1930, part à Paris et fait des études d'orgue. Il retournera ensuite à l'industrie et entre à Sécheron en 1957, il travaille comme "ingénieur technicien dans le secteur développement". Dans cet entretien, il décrit de façon détaillée le type de travail qu'il a été amené à effectuer. Il explique quelles nouvelles méthodes il a élaboré en fonction des demandes de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) ou des tramways zurichois.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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