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Défendons les "démolisseurs de taudis"

Lutte contre le chômage (procès intenté au militants intervenu dans la démolition des taudis).
Texte complet: "Citoyens! Travailleurs! Défendons les "démolisseurs de taudis". C'est mercredi 26 février que la Cour Correctionnelle jugera: Les "démolisseurs de taudis"; les "résistants" aux saisies et évacuations. Ils comparaîtront tête haute et poseront devant le Tribunal la revendication des 8500 chômeurs. Pour du travail, par la démolition des taudis. Contre les évacuations et saisies".

Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB)

Démolissons les taudis

Lutte contre le chômage (démolition des taudis).
Texte supplémentaire: "Contre le chômage - Pour du travail - Contre les évacuations - Pour les chômeurs - Contre les régisseurs - Pour les locataires", "Assistez aux réunions convoquées par: F.O.B.B. - Comité des chômeurs - Union des locataires".

Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB)

Ils ont bâti la ville: Genève 1920-1940: Ouvriers et artisans racontent

Série d'interviews d'ouvriers, artisans et entrepreneurs du bâtiment, réalisée par Christiane Wist entre 1985 et 1986 sur mandat du Collège du Travail en vue de la publication de l'ouvrage "Ils ont bâti la ville, ouvriers et artisans racontent, 1920-1940" (Collège du Travail, 1988).
Ces interviews documentent les savoir-faire et les luttes sociales liés à cette période de grands changements des années 1920-1940.

Cette série contient d'une part la description précise des techniques, outils, matériaux et conditions de travail liées à quinze métiers distincts dans le domaine du bâtiment. Certains de ces métiers ont aujourd'hui disparu ou sont exercés uniquement pour les restaurations de monuments (tailleur de pierre, terrassier, staffeur, ferreur, mosaïste, etc...). Ceux qui perdurent ont pour la plupart traversé des évolutions techniques tellement importantes au niveau des matériaux et des outils qu'il pourrait s'agir de métiers distincts. D'autres continuent à se servir des techniques éprouvées par les siècles (charpentiers, enseignants) tandis que grutier ou électricien sont des métiers nés dans ces années-là. Ces interviews documentent donc un ensemble de savoir-faire aujourd'hui méconnus puisqu'ils appartiennent à la pratique artisanale d'un métier avant la mécanisation et la généralisation du béton et des machines. Les récits d'un entrepreneur, de marchands de bois et d'un architecte font aussi partie de ce panorama. Ces personnes racontent aussi la manière dont ils vivaient, leur contexte familial. La narration d'une diversité impressionnante de parcours de formation et de succession des métiers est un autre aspect remarquable de cet ensemble.

Cette série documente d'autre part les techniques, les matériaux et l'organisation nécessaires à l'accomplissement du travail de lutte sociale et syndicale. Ce sont les manifestations, les actions directes et les récits de luttes et de solidarité qui dominent les récits; en creux, au détour d'anecdotes apparaissent la dureté des conditions de vie et la brutalité des rapports sociaux. Sont notamment racontés: la fusillade du 9 novembre 1932, la démolition des taudis de Saint-Gervais, les résistances aux évacuations, les luttes pour les vacances, les jours fériés, contre les accidents de travail. Il est aussi question de la répression, de la surveillance policière et des peines de prison. Autre thème rapporté dans ces entretiens, l'émigration des travailleurs suisses à l'étranger; et notamment le racisme et les attaques subis en tant qu'étrangers habitant en France ou comme travailleurs frontaliers.

Collège du Travail, Genève

Interview d'un maçon - Fernand Fellay, le personnage D (1ère partie/2)

Interview d'un maçon, Fernand Fellay, le personnage D, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 01:04:18).
Période évoquée: 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Ce maçon raconte la manière dont les militants s'organisaient pour faire respecter les revendications des ouvriers. Il décrit les actions de démolitions de taudis et autres événements liés à la Ligue d'action du bâtiment (LAB). Il raconte la mise en place des équipes chargées de contrôler chacune une zone du canton et agir en cas de non-respect des revendications, par exemple en sabotant le travail effectué les jours de congé.

Repérage des sujets principaux (1ère partie/2)
00:01:30 Tournée des chantiers;
00:04:20 Stratégies par rapport à la police;
00:09:08 Entrée dans le syndicat motivé par les revendications salariales et la volonté de réagir aux injustices sur les chantiers - conséquences de l'affiliation au syndicat - changer de boulot quatre fois par année;
00:14:30 Logement et hygiène, bains publics;
00:15:30 Les conséquences du chômage sur la vie quotidienne et familiale: à la maison jusqu'à trente-cinq ans;
00:20:30 L'organisation syndicale par métier et la Ligue d'action du bâtiment (LAB);
00:24:02 Grande action sur le chantier du bâtiment de la Société des Nations;
00:26:25 Démolition des taudis de Saint-Gervais - départ 5h du matin, chacun sa pelle et pioche;
00:29:40 Comment viennent les idées pour les actions? par l'action - résistances aux évacuations à quarante ou cinquante personnes;
00:34:50 Comment fonctionnaient les ponts-volants (système remplacé par les échafaudages), pourquoi les ouvriers y perdaient la vie, lutte pour leur suppression;
00:38:43 Première grève a duré dix-sept jours - grève de 1928, grève commencée sans savoir si la Fédération allait soutenir;
00:44:00 Grève des ramoneurs, ouvriers venus de Hongrie, dormaient sur le sol et nourris sur place, "une honte" - fermeture de l'usine - action syndicale: " Petit salaire, petit travail », affiches collées partout sur le chantier - action: travail au ralenti - lutte victorieuse pour empêcher une baisse de salaire.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un maçon - Fernand Fellay, le personnage D (2ème partie/2)

Interview d'un maçon, Fernand Fellay, le personnage D, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 01:04:18).
Période évoquée: 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2):
Ce maçon raconte la manière dont les militants s'organisaient pour faire respecter les revendications des ouvriers. Il décrit les actions de démolitions de taudis et autres événements liés à la Ligue d'action du bâtiment (LAB). Il raconte la mise en place des équipes chargées de contrôler chacune une zone du canton et agir en cas de non-respect des revendications, par exemple en sabotant le travail effectué les jours de congé.

Repérage des sujets principaux (2ème partie/2)
00:02:00 Rapports avec les syndicats chrétiens;
00:03:00 Fusillade du 9 novembre 1932;
00:06:25 Influence de la pensée de Luigi Bertoni;
00:07:30 Colleurs de papiers peints, travail à la pièce et réaction syndicale;
00:10:30 Stratégies de grève quand on est minoritaire au début;
00:13:40 Que pensez-vous des résultats obtenus? Conditions de travail sont bien meilleures qu'avant, la santé améliorée grâce aux grues qui réduisent le poids à transporter.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un maçon et typographe - Henri Tronchet, le personnage F (1ère partie/1)

Interview d'un maçon et typographe, Henri Tronchet, le personnage F, par Paulette Deleval (Durée totale de l'entretien: 00:42:02).
Période évoquée: 1920-1950 (principalement)

Aperçu des thèmes (Partie 1/1):
Dans cet entretien, ce typographe devenu maçon traite notamment de la Ligue d'action du bâtiment (LAB), de la démolition des taudis de Saint-Gervais ainsi que des actions de résistance aux évacuations. Il raconte son entrée en apprentissage comme typographe et sa réorientation comme maçon pour raisons de santé. Il explique les façons dont il participait à à la Ligue d'action du bâtiment (LAB) et la grève de 1928.
Il raconte les changements du travail dans le bâtiment en lien avec les mois d'hiver et les intempéries. Il parle des structures organisationnelles en relation avec les luttes syndicales. Il se positionne sur le type de stratégies à adopter, notamment sur la nécessité que les mouvements de grève soient brefs. Il décrit la grève des jours fériés, les sabotages de machines et la « prise de l'Hotel de Ville ». Cet épisode a abouti à l'obtention du paiement des jours fériés dans toute la Suisse. Il parle des actions de résistance aux évacuations de logement. Il explique les raisons de l'organisation de la démolition des taudis de St-Gervais. Ces derniers étaient habités par des personnes ayant été évacuées de leur logement pour non paiement du loyer. Elles étaient ensuite relogées dans des logements qui appartenaient à la Ville et à l’Etat. L'idée de l'action était que les ouvriers initient eux-mêmes directement la démolition pour refuser ces relogements et créer du travail. Il mentionne les aspects judiciaires de ces actions et les liens avec la politique institutionnelle. Il effectuera deux ans de prison. Il raconte des anecdotes cocasses sur son activité de typographe pendant son incarcération.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet (1ère partie/9)

Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 03:54:13).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/9 à 9/9):
Dans ce long et fourni entretien, Christiane Wist se fait raconter l'histoire de cette période des années 1920-1940 par Henri Tronchet qui participa notamment à une série d'actions directes au sein de la Ligue d'action du bâtiment (LAB) et fut secrétaire syndical jusqu'en 1955. Né en 1915, il raconte son parcours dans l'action syndicale et dans ses deux métiers principaux, maçon et typographe. Dans cet entretien, les interlocuteurs prennent le temps de la réflexion et de la distance par rapport aux récits, et s'attardent notamment sur le concept de chance. En effet, Henri Tronchet la considère comme centrale dans son parcours, ce qui lui fait dire « c'était peut-être ma chance d'avoir cru à ma chance ! ». Il décrit les actions menées pour la mise en place du système de reconnaissance de capacité pour les ouvriers qualifiés mais sans diplôme. Il explique les raisons pour lesquelles beaucoup d'ouvriers ne pouvaient se permettre d'acheter les produits des coopératives. Il décrit aussi l’ambiguïté dans la pratique des politiques de logement social. Il aborde la question des rapports de pouvoir et des comportements peu anarchistes de camarades anarchistes. Parmi de nombreux autres sujets, cet entretien traite aussi de la propagande par le fait, des enjeux de la caractérisation d'un acte comme "acte terroriste" et des séjours en prison.

Repérage des sujets principaux : (1ère partie/9)
00:00:00 à 00:09:00 : Les oppositions aux évacuations n'étaient efficaces que grâce à l'action directe - Rue Masbou : récit de la venue des différents officiels dans leur costumes : rue condamnée, femmes aux fenêtres avec les casseroles, téléphone au procureur – Rue des Allobroges : la femme avait voulu se suicider car c'est humiliant qu'on vous sorte les meubles dans la rue - ils ont tendu un piège aux policiers et les ont enfermés un moment dans la cave – Rue Verte, ils ont pendu l'huissier ... par les bras - le gouvernement Nicole plaçait les évacués dans ces taudis – les raisons de l'échec du gouvernement Nicole – la déclaration de guerre qui a été un soulagement pour certains;
00:09:00 à 00: 11:58: contradictions de la gauche par rapport à l'antimilitarisme – Pour Bertoni, il fallait faire la révolution pour éviter la guerre – dans certaines situations, les pacifistes ont favorisé la prise de pouvoir des Allemands - il y a plus de nostalgie de 1936 que de 1968;

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet (2ème partie/9)

Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 03:54:13).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/9 à 9/9):
Dans ce long et fourni entretien, Christiane Wist se fait raconter l'histoire de cette période des années 1920-1940 par Henri Tronchet qui participa à une série d'actions directes au sein de la Ligue d'action du Bâtiment (LAB) et fut secrétaire syndical jusqu'en 1955. Né en 1915, il raconte son parcours dans l'action syndicale et dans ses deux métiers principaux, maçon et typographe. Dans cet entretien, les interlocuteurs prennent le temps de la réflexion et de la distance par rapport aux récits, et s'attardent notamment sur le concept de chance. En effet, Henri Tronchet la considère comme centrale dans son parcours, ce qui lui fait dire « c'était peut-être ma chance d'avoir cru à ma chance ! ». Il décrit les actions menées pour la mise en place du système de reconnaissance de capacité pour les ouvriers qualifiés mais sans diplôme. Il explique les raisons pour lesquelles beaucoup d'ouvriers ne pouvaient se permettre d'acheter les produits des coopératives. Il décrit aussi l’ambiguïté dans la pratique des politiques de logement social. Il aborde la question des rapports de pouvoir et des comportements peu anarchistes de camarades anarchistes. Parmi de nombreux autres sujets, cet entretien traite aussi de la propagande par le fait, des enjeux de la caractérisation d'un acte comme "acte terroriste" et des séjours en prison.

Repérage des sujets principaux : (2ème partie/9)
00:00:00 à 00:09:00 : grève du 3 septembre 1932 : réduction des salaires pour résoudre la crise partout en Suisse – grève générale annoncée pour le samedi – seul chantier à travailler, celui de la Société des Nations, avec beaucoup d'étrangers et de saisonniers qui travaillaient – récit de la confrontation – ils avaient desserrés les freins de différents véhicules – des adjudants de gendarmerie qui ressemblaient à des caricatures – tentatives de mettre le feu à la menuiserie – arrestations – Résultat : Genève, seul canton qui n'a pas eu de baisse de salaire : démonstration que c'était l'action des ouvriers eux-mêmes qui est efficace – les travailleurs attrapés sur les chantiers ne résistaient pas en général – il ne se souvient pas bien de toute cette période, il n'avait que 17 ans et ne jouait pas de rôle spécifique – La manchette titrait : De retour de Moscou, ils prennent d'assaut la SdN ! C'était faux évidemment ;
00:09:00 à 00:18:00 : Huissoud est parti une année à Moscou - certains ont été formés en Allemagne – « Nous on savait : en 1934-1935 les gens étaient au courant, on parlait avec des rescapés » – anecdote sur Pierre Nicole – il mentionne une certaine affaire Pontini, Noël 1937 - Participation à des rencontres, l'anti-Babel: y a rencontré André Gide, il y avait des cours le matin avec 70 personnes et l'après-midi invitation de personnalités - il mentionne une affaire de la main tendue de Torres – une Madame Arnaud [?] fusillée à Annemasse, les camelots du roi ;
00:18:00 à 00:27:00 : Conflits entre Lucien Tronchet et Henri Tronchet sur les calomnies – Le réarmement moral à Caux, une sorte d'armée du salut, mais hypocrite, au départ c'est une couverture de la CIA, il y avait 2000 personnes en permanence à Caux, qui est-ce qui payait ? - parfois il faut bousculer les gens pour que l'information circule ;
00:27:00 à 00:36:00 : En prison, il a trouvé que le temps passait à une vitesse incroyable – le mépris des gardiens de prison était une distraction – ses rencontres en prison – c'était presque un compagnonnage du cambriolage – assassinat et vengeance à froid – le gardien de prison qui le reconnaît 40 ans après au Marchairuz – raisons de son emprisonnement : ils ont fait une petite bombe et l'ont placée sur le monument aux Morts de 14-18 du Parc Mon Repos, ils se sont fait attrapé, ils étaient jeunes et pas précautionneux ;
00:36:00 à 00:46:38 : Fellay aurait été prêt à se sacrifier - grande accélération de la procédure judiciaire en argumentant qu'il s'agissait d'un acte de terrorisme – le procureur général avait déjà une dent contre lui en raison de l'affaire des taudis et avait besoin d'être sévère pour se faire réélire – "on partait en Espagne on avait fait des bombes dans des cylindres, comme on nous voyait souvent au Grand-Saconnex, il fallait avoir un prétexte et donc on jardinait" – en sortant de Bochuz, quelques jours après on l'emmène 8 jours à Saint-Antoine – « Je n'ai pas particulièrement souffert à Bochuz. Mais on ne se souvient que des bonnes choses, c'est comme les soldats, c'est humain, sinon on se suicide » – a demandé à être mis au quartier politique en prison.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet (3ème partie/9)

Interview d'un maçon, typographe et secrétaire syndical, Henri Tronchet, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 03:54:13).
Période évoquée : 1920-1940 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/9 à 9/9):
Dans ce long et fourni entretien, Christiane Wist se fait raconter l'histoire de cette période des années 1920-1940 par Henri Tronchet qui participa à une série d'actions directes au sein de la Ligue d'action du Bâtiment (LAB) et fut secrétaire syndical jusqu'en 1955. Né en 1915, il raconte son parcours dans l'action syndicale et dans ses deux métiers principaux, maçon et typographe. Dans cet entretien, les interlocuteurs prennent le temps de la réflexion et de la distance par rapport aux récits, et s'attardent notamment sur le concept de chance. En effet, Henri Tronchet la considère comme centrale dans son parcours, ce qui lui fait dire « c'était peut-être ma chance d'avoir cru à ma chance ! ». Il décrit les actions menées pour la mise en place du système de reconnaissance de capacité pour les ouvriers qualifiés mais sans diplôme. Il explique les raisons pour lesquelles beaucoup d'ouvriers ne pouvaient se permettre d'acheter les produits des coopératives. Il décrit aussi l’ambiguïté dans la pratique des politiques de logement social. Il aborde la question des rapports de pouvoir et des comportements peu anarchistes de camarades anarchistes. Parmi de nombreux autres sujets, cet entretien traite aussi de la propagande par le fait, des enjeux de la caractérisation d'un acte comme "acte terroriste" et des séjours en prison.

Repérage des sujets principaux : (3ème partie/9)
00:00:00 à 00:09:00 : Bösiger, c'est « un confusionniste », il n'avait pas d'activité syndicale, il était maçon et "anar mais très primaire », maçon, pendant la guerre, il avait une entreprise de défrichement, il touchait des subventions mais ne payait pas ses employés, voulait leur donner des légumes plutôt que de l'argent – il aurait voulu reprendre le Réveil – Bösiger a été condamné à 8 mois de prison pour refus de servir - la bombe a été mise en solidarité avec lui – en comparaison quand les nazis ont fait sauté une synagogue, seulement 2 mois de prison - Bertoni disait faites des conneries mais faites quelque-chose – 13 ans de différence d'âge avec son frère Lucien Tronchet, ils n'ont pas passé beaucoup de temps ensemble à la maison, ils ont eu du contact dans l'action – il ne se souvient pas comment il est entré en contact avec le cercle anarchiste de Coutance;
00:09:00 à 00:10:05 : Anecdote sur la rencontre avec Bertoni et la participation pour un livre – Evasion de Bertoni de l'hôpital.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

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