Showing 233 results

Archival description
Collection d'enregistrements sonores French
Advanced search options
Print preview View:

2 results with digital objects Show results with digital objects

Ménage-toi - Emission 24.09.1986 (2ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la formation professionnelle et au travail des femmes à l'occasion de la votation sur l' initiative populaire pour la formation professionnelle et un recyclage garanti lancée par le Parti socialiste ouvrier (PSO), à une interview d'une jeune employée de banque, au sketch radiophonique "Remue-méninge" créé par Alda De Giorgi et aux enjeux de la votation sur sur "l'arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène" (Durée totale: 02:04:30).

Résumé
Partie 2/4: suite de l'interview de Christine Tulle Misteli, membre du Parti socialiste ouvrier (PSO), enseignante au SEPIA et militante de l'Association de défense des chômeurs (ADC) à propos de l' Initiative du PSO, de la formation professionnelle, des places d'apprentissage et du travail des femmes (00:20-04:40, 05:25-09:35), interview de Brigitte, une employée de banque âgée de 26 ans qui parle de son apprentissage d'employée de commerce et de son parcours professionnel (13:10-18:20, 20:50-28:15, 29:50-30:10), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

La Voix des vétérans - Emission 6 (2ème partie/2)

Emission de radio sur la guerre d'Espagne. (Durée totale: 00:58:66)

Résumé de l'émission (Parties 1/2 et 2/2):
Présentation du Collège du travail et de l'émission sur Radio Zone par Jacqueline Berenstein-Wavre.
Interview de Henri Meyer, ouvrier du bâtiment, plombier, engagé dans les brigades internationales en 1936.
Compte rendu de l'exposition de Henri Capa au Musée de l'Elysée sur des photographies de la guerre d'Espagne.
Musique: chansons traduites en français de poèmes espagnols.
Réalisation: Christiane Wist.

La partie 2/2 commence par la suite de l'interview de Henri Meyer, de son quotidien sur le front en Espagne.

Wist, Christiane; animateur/trice

Interview de Maxime Chalut, ancien président du SATUS (2e partie/2)

Interview de Maxime Chalut, ancien président du club sportif ouvrier SATUS de Genève, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:18:55).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Maxime Chalut rend compte des activités organisées par la Fédération de football ouvrier SATUS à Genève dans l’entre-deux-guerres (adhésion en 1928). Il mentionne également certaines activités culturelles, dont le Théâtre prolétarien auquel participait William Jaques, les chorales et les fanfares ouvrières dont La Lyre, dirigée par F. Closset. Il parle de son rôle dans l’organisation de la classe ouvrière, des différences entre les associations sportives et culturelles ouvrières et celles liées à la bourgeoisie. Parmi les autres sports ouvriers : la gymnastique, le ski, le vélo. Par contre, le hockey sur glace, qui avait lieu sur des patinoires naturelles (terrain de tennis, marais gelé), n’entrait pas en ligne de compte.
Maxime Challut raconte sa passion pour le football et la manière dont se passait le jeu, les préparatifs, la vie associative et la sociabilité festive (bals, lotos, margotins). Il évoque les valeurs des sportifs ouvriers, le rôle de la compétition, le rapport à l’armée et au service militaire. Il parle brièvement du 9 novembre 1932 et de son refus de participer à l’intervention de l’armée (4 jours de prison) ainsi que de la fabrication de composants d’armes par les industries de la métallurgie genevoise (Charmilles, Hispano, Gardy, SIP).
A divers moments, Maxime Challut parle de son enfance à Lancy, aux Acacias, puis à Carouge, de la maladie de son père (tuberculose), de ses souvenirs d’école et de ses conditions de vie. En fin d’interview, il revient sur son apprentissage et son activité d’électricien aux Services industriels de Genève. Il évoque notamment les conditions salariales au début des années 1930. Il parle aussi des premières cuisinières électriques et des débuts de la radio, qui le passionne.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Paul Lichtenberg, ferreur (2e partie/2)

Interview de Paul Lichtenberg, ferreur, par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 00:59:36).
Période évoquée: 1920-1940

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/2 et 2/2) :
Paul Lichtenberg raconte en détails les techniques du métier de ferreur et les raisons pour lesquelles il a choisi et aimé ce métier de « libre ». La discussion traite notamment des questions de rémunération à l'heure ou à la pièce, des actions des travailleurs français contre le travail des Suisses en France en 1923, des relations entre les collègues ferreurs et avec les serruriers et les autres corps de métier, ainsi que du vélo comme moyen de transport professionnel. Il est aussi question des ponts-volants, des rapports avec les patrons, du travail chez les riches pendant la crise ainsi que de la modification du travail avec la production de pièces normalisées en série.

Sujets principaux - segments temporels : (2e partie/2)
00:00:00 à 00:09:00 : Grand-père était Maître serrurier, a dû arriver autour de 1850, avait pignon sur rue à la Rue Rousseau 20 – le frère du grand-père installé avec une serrurerie à Marseille, changement de nom de Lichtenberg à Clairemont - ferreur, un beau métier, « si je voulais partir aux champignons, j'y allais ».

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Pierre Riondel, ingénieur technicien (2ème partie/2)

Interviews d'un ingénieur-technicien, Pierre Riondel, par Alda de Giorgi et Eric Golay (Durée totale de l'entretien: 01:30:00).
Période évoquée: 1957-1993 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/5 à 2/5) :
Après avoir obtenu son diplôme au Technicum à Genève en 1948, cet ingénieur, né en 1930, part à Paris et fait des études d'orgue. Il retournera ensuite à l'industrie et entre à Sécheron en 1957, il travaille comme "ingénieur technicien dans le secteur développement". Dans cet entretien, il décrit de façon détaillée le type de travail qu'il a été amené à effectuer. Il explique quelles nouvelles méthodes il a élaboré en fonction des demandes de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) ou des tramways zurichois.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Walter Schmied, poseur et réparateur de conduites (2ème partie/2)

Interview d'un poseur et réparateur de conduites, Walter Schmied, par Alda de Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:15:37).
Période évoquée: 1950-1996 (principalement)

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Walter Schmied a fait partie pendant vingt ans de l'équipe réseau de la Société des Eaux de l'Arve (SEA), il s'occupait de la pose et de l'entretien des conduites, mais donnait souvent un coup de main à l'équipe mécanique. Il aimait la l'autonomie et la diversité du travail, cela compensait un certain manque de matériel. Il a été agriculteur avant d'arriver à la SEA. Il décrit son logement de fonction et la capacité de ses collègues à penser et mettre en oeuvre des améliorations du travail.

Repérage des sujets principaux (2ème partie/2) :
00:00:00 à 00:09:00 : aux SIG il y avait un conducteur de travaux en dessous du contremaître - le conducteur de travaux avait la charge de discuter avec les clients - à la SEA, il avait une petite maison avec du 1200 mètres carré de terrain pour lequel il payait 300.- par mois - il avait des abeilles et entretenait ce terrain - il a pu rester, mais le loyer a augmenté à 1250.- , jusqu'au moment de la retraite il n'en payait que 1000.- - les maisons vont être vendues - quasiment tous les employés avaient ce type de logement - il y avait des appartements aussi - il avoue qu'il a bien aimé les deux directeurs qu'il a connu - il avait de bons contacts avec De Haller, c'était un ingénieur, il connaissait bien son métier - certains employés vivaient directement dans l'usine: Rudolf parlait du tout ancien contremaître de l'usine qui y vivait;
00:09:00 à 00:18:00 : au niveau des salaires, il était satisfait, il y avait des augmentations - autant Monsieur De Haller que Monsieur Coutau (Couteau?)"savait reconnaître ceux qui bossaient et les autres", "je n'ai jamais eu besoin de demander d'augmentation" - il a connu plusieurs secrétaires qui se sont succédées, Mademoiselle Maréchal est restée toute sa vie, a connu plusieurs directeurs dont Monsieur Lenoir - il y avait des jardins potagers pour lesquels Walter Schmied livrait du fumier lorsqu'il travaillait à la campagne - les collègues des SIG se moquaient gentiment en disant que les Eaux d'Arve avaient des tuyaux en bois - il n'y a quasiment plus d'activité sur le site, mais pour pouvoir conserver la concession ils étaient obligés d'avoir un peu d'activité sur le site, pour cette raison, ils remettent en fonction pour produire un peu de courant - jusqu'en 1958, ils engageaient des gens pour venir casser la glace avec des pics la nuit, la journée c'était les employés - longtemps ils tiraient en haut les feuilles avec des râteaux en fer pour nettoyer, jusqu'au moment où Monsieur Keller a conçu un outil spécial grâce auquel ils pouvaient pousser les feuilles vers le bas;
00:18:00 à 00:27:00 : les dangers liés au travail depuis les ponts, la nuit, tout seul, sans barrière et pas assurés, il ne mettaient pas la ceinture, car ça les enquiquinait - [explications du fonctionnement général liées aux photographies, mention de noms de personnes et de fonctions] ;
00:27:00 à 00:29:52 : [idem] - Alda de Giorgi parle de sa visite à l'usine - il y avait un local d'archives dans la forêt, un petit blockhaus dans l'enceinte des Eaux d'Arves - les archives ont été données aux Archives d'Etat, mais il y a aussi de magnifiques photographies Boissonas, qui sont superbes, mais qui sont simplement dans la cuisine - recontacter Rudolf à ce sujet.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview de Claude Boillat (2ème partie/2)

Interview d'un responsable administratif à l'atelier d'occupation temporaire collective, l'Atelier d'imprimerie Atograph, Claude Boillat, par Alda de Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:11:56).
Période évoquée: 1994-1996

Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Dans cet entretien, Claude Boillat répond aux questions d'Alda De Giorgi dans le cadre de l'édition par le Collège du travail d'un numéro spécial consacré au chômage, A la recherche de l'emploi perdu. L'Atelier Atograph est un atelier d'occupation temporaire collectif ouvert à l'initiative du Syndicat du livre et du papier (SLP). En sortant, les artisans sont effectivement plus qualifiés, mais n'ont pas plus de chance d'être réinsérés, le problème étant situé dans le fonctionnement du marché du travail. Par contre, cela permettait au travailleur de se former dans les nouvelles technologies, d'accomplir de véritables travaux et surtout de rester en contact avec le monde social de l'emploi. Sont traitées les questions de responsabilité personnelle, l'autogestion, la motivation, la pertinence des mesures de l'Office de l'emploi. Cet atelier a été créé dans la foulée de la faillite du journal La Suisse.

De Giorgi Alda; interviewer/euse

Ménage-toi - Emission 24.09.1986 (3ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la formation professionnelle et au travail des femmes à l'occasion de la votation sur l' initiative populaire pour la formation professionnelle et un recyclage garanti lancée par le Parti socialiste ouvrier (PSO), à une interview d'une jeune employée de banque, au sketch radiophonique "Remue-méninge" créé par Alda De Giorgi et aux enjeux de la votation sur sur "l'arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène" (Durée totale: 02:04:30).

Résumé
Partie 3/4: "Remue-ménage: des histoires à détraquer vos électroménagers" sketch radiophonique créé par Alda De Giorgi à partir du courrier des lecteurs d'un grand quotidien genevois (09:30-09:40, 10:10-11:40, 12:05-13:35, 14:10-15:50, 20:40-20:50), agenda culturel et social avec entre autres: conférences, ateliers d'écriture, manifestations, concerts de solidarité, Centre F-Information (21:15-30:30), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Ménage-toi - Emission 24.09.1986 (4ème partie/4)

Emission de radio faite par des femmes pour des femmes consacrée notamment à la formation professionnelle et au travail des femmes à l'occasion de la votation sur l' initiative populaire pour la formation professionnelle et un recyclage garanti lancée par le Parti socialiste ouvrier (PSO), à une interview d'une jeune employée de banque, au sketch radiophonique "Remue-méninge" créé par Alda De Giorgi et aux enjeux de la votation sur sur "l'arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène" (Durée totale: 02:04:30).

Résumé
Partie 4/4: rubrique de Jacqueline Berenstein-Wavre "Femmes et nourriture": à l'occasion de la votation sur "l' Arrêté fédéral sur l'économie sucrière indigène", elle revient sur les enjeux du projet ainsi que sur le rôle du sucre dans l'alimentation (06:50-13:20), musique.

Collège du Travail, Genève; producteur/trice

Interview d'Yves Müller

Interview d'Yves Muller (né le 15.1.1934, à Cressier FR), concierge chez Gardy de 1982 à 1987. Il est accompagné de sa femme qui intervient plusieurs fois, mais de manière inaudible. Interview effectuée par Fabienne Kühn.
Période évoquée: 1950-1953, 1982-1987.

00:00-00 :49 introduction FK;
00:50-04:24 né le 15 janvier 1934 à Cressier (FR) ; quatre frères et une sœur ; père menuisier-charpentier ; enfance et scolarité à Cressier ; école secondaire à Fribourg, avec Vincent Kessler ; apprentissage d’horloger chez Certina à Granges (SO) (2 ans), car pas facile de trouver du travail à Fribourg ; en pension chez une cousine de son père à Bettlach (SO), retour à Cressier tous les week-ends à vélo, jeunesse pas facile ; pas payé durant la formation, mais compensation de 60 centimes de l’heure ;
04:25-06:14 vient à Genève avec un ami contrôleur CFF, qui a envie de changer de métier ; travaille 17 ans comme horloger chez Omega, à Genève, puis chez Patek Philip 12 ans, 5 ans chez Gardy, 11 ans à la banque ;
06:15-09:09 engagé comme concierge chez Gardy aux Acacias, grâce à ami, ancien concierge, mais mécontent car l’entreprise a des problèmes de trésorerie – contrôle des locaux - ouverture et fermeture le matin et le soir -, sécurité du site ; membre des pompiers de la Ville de Genève ;
09:10-10:14 se présente comme homme de droite et se distancie de la commission du personnel et de Vincent Kessler, même si par ailleurs ils sont amis ;
10:15-12:49 laissé à lui-même dans son travail, ce qui lui convenait pas ; pas de dialogue dans l’entreprise ; défend le directeur Seidler, alors que tous les autres le critiquent ;
12:50-15:49 mauvais salaire, mais mise à disposition d’un logement sur le site de l’usine, chargé de veiller à la sécurité des lieux, met à profit la formation reçue chez les pompiers, cours de sécurité ;
15:50-16:44 les cours de sécurité reçus aux pompiers lui ont permis d’entrer dans une banque comme huissier ;
16:45-18:19 informations vagues sur les conditions de travail et les loisirs chez Gardy, bonne ambiance ;
18:20-22:59 difficultés de l’entreprise, défend la direction alors que «les ouvriers disent que c’est la faute du patron », estime que l’échec de Gardy est dû autant aux employés, au syndicat, qu’à la direction : les ouvriers manquaient de discipline ;
23:00-23 :49 engagé chez Gardy en 1982, départ en 1987 ;
23:50-25 :16 apprentissage à 16 ans la sortie de l’école (1950), après avoir travaillé 6 mois avec son père ; arrivée à Genève en 1953.

Muller, Yves

Results 71 to 80 of 233