Correspondance reçue de l'association avec les procès-verbaux et les ordres du jour des assemblées générales, les circulaires, des informations sur divers projets ; correspondance de Marc Vuilleumier avec l'association, principaux correspondants : Thomas Bouchet, Bernard Desmais, Jean-Claude Dubos.

Prisonnier dans une geôle avec un soupirail grillagé.

Le Mouvement social, no 48, 1964, pp. 95-108.

Ce dossier se compose de trois ensembles : notes prises lors d'un dépouillement de la série « Flüchtinge » aux Archives fédérales suisses (MVU-G-017/1 à 10) ; notes, photocopies, reproductions, coupures de presse et correspondances (notamment avec les différents service d'archives) autours des « Républicains français en Suisse », provenant surtout des recherches auprès des Archives nationales et départementales françaises (11 à 20) ; notes et reproductions provenant du dépouillement de la série K (I, II, VII et VII) des Archives cantonales vaudoises (21 à 27).

Vues d'immeubles divers, de bâtiments en construction, de savane, d'un port de plaisance (peut-être en partie lié au voyage de Lucien Tronchet à Tunis à l'occasion de la 3e Conférence régionale africaine de
la CISL du 7 au 11 nov. 1960).

Colloque organisé par l'École française de Rome, le Centro per gli studi di politica estera e opinione pubblica (Université de Milan), l'Academia Belgica, l'Instituto español de historia y arqueologia, le Danske Institut for Videnskab og Kunst i Rom, le Deutsches historisches Institut in Rom, l'Istituto svizzero di Roma, le Nederlands Instituut te Rome, le Historisches Institut Rom des Oesterreichischen Akademie der Wissenschaften, Rome 3-6 mars 1988, Marc Vuilleumier « Les exilés politiques en Suisse de 1848 à 1914 » : papillon, manuscrit de l'intervention, notes et extraits des certaines autres interventions.

Interview d'un électricien, initiles B. M., par Christiane Wist (Durée totale de l'entretien: 01:02:19 ).
Période évoquée: 1920-1980

Aperçu des sujets traités dans l'interview (Parties 1/2 et 2/2):
Dans cet entretien semi-dirigé, cet électricien né en 1897 détaille les conditions de travail et les méthodes du métier. En 1918, les PTT (Postes, téléphones et télégraphes) recrutent, il postule, puis y travaille trois ans avant d'être licencié avec 17 autres. Il aurait voulu être chauffeur de taxi, mais l'école était trop chère. Sur le thème des relations de travail et pour camper le personnage, on peut relever qu'à un collègue qui avait le bras long, et qui ne lui adressait plus la parole après une petite ascension sociale, il avait dit: "tu sais, même les bras longs, on peut les couper (...)". Les autres sujets dont il est question sont son travail chez Ciba à Monthey, son antimilitarisme, ses cours du soir à quarante ans (c'est finalement lui qui donnait des cours à ses camarades de classe), son accident à l’œil, des coupures d'électricité et le retrait du téléphone pour non paiement, des détails de l'évolution des installations électriques, de la fabrication de têtes d'obus, du syndicat des électriciens, des débuts de l'électricité et du téléphone dans les maisons privées, des recherches de personnes par les téléphonistes, des fils aériens et des conduites.