- CH-001784-0 MCH-C-1
- File
- 1956
Part of Fonds Maxime Chalut
Diplôme de Champion romand Série A, saison 1955-1956, délivré au Sémina F.C.O. par le Comité régional romand de la Fédération de football Satus (présidée par Maxime Chalut).
SATUS
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Part of Fonds Maxime Chalut
Diplôme de Champion romand Série A, saison 1955-1956, délivré au Sémina F.C.O. par le Comité régional romand de la Fédération de football Satus (présidée par Maxime Chalut).
SATUS
3e Fête centrale ouvrière de gymnastique et de sports 1926, Berne
Part of Fonds Maxime Chalut
Défilé de l'Union sportive du travail de Genève en tenue et sautoir, avec drapeau à Berne; exercices collectifs de gymnastes ouvriers dans un stade; productions théâtrales sur scène.
Photographie Keller
Olympiades ouvrières 1925, Frankfort
Part of Fonds Maxime Chalut
Défilé en ville: cyclistes en costume, gymnastes en tenue avec pancartes, fanfares; sportifs en groupes dans le stade.
Bromograph GmbH
2e Fête centrale de gymnastique et de sports 1923, Zurich
Part of Fonds Maxime Chalut
Défilé en ville: gymnastes en tenue et sautoir; arrivée près de la place d'exercice: syndicat du bois et du bâtiment (FOBB) Zurich avec pancarte et drapeaux; exercices collectifs avec drapeaux, vue aérienne.
Dübendorfer, A., Photo
Equipe genevoise, Satus, football
Part of Fonds Maxime Chalut
Portrait de l'équipe genevoise de football Satus, avec Maxime Chalut (1er debout à gauche).
[inconnu]
1ère Fête romande de gymnastique ouvrière 1921, Versoix
Part of Fonds Maxime Chalut
4 portraits de groupes: Amis Gymnastes Versoix (hommes et garçons en tenue et sautoir, avec drapeau), femmes en corset (avec drapeau), Union sportive du travail Genève Ville (hommes et garçons en tenue), femmes, filles et garçons en tenue et écharpe.
Reinhardt, G., photographe
Part of Fonds Maxime Chalut
15.04.1944 (édition spéciale pour le 70e anniversaire en allemand); 54e année, no 17, 29.04.1964 (pp.1-2 "Le Satus a 90 ans"); no 43, 23.10.1974 (pp. 9-10, 15-16).
Fédération ouvrière suisse de gymnastique et de sport
Récit de Marie Marti-Casarsa (née en 1933 à Branco en Vénétie) de son arrivée en Suisse, son travail, sa vie à Genève et ses activités militantes au Parti du travail. Interviewé par Patrick Auderset, en présence de sa fille, Catherine Marti.
Voir le compte rendu de son interview avec minutages dans le dossier conservé au Collège du travail.
Marti-Casarsa, Maria; interviewé/e
Interview de Maxime Chalut, ancien président du SATUS (2e partie/2)
Interview de Maxime Chalut, ancien président du club sportif ouvrier SATUS de Genève, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:18:55).
Période évoquée: 1920-1940
Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Maxime Chalut rend compte des activités organisées par la Fédération de football ouvrier SATUS à Genève dans l’entre-deux-guerres (adhésion en 1928). Il mentionne également certaines activités culturelles, dont le Théâtre prolétarien auquel participait William Jaques, les chorales et les fanfares ouvrières dont La Lyre, dirigée par F. Closset. Il parle de son rôle dans l’organisation de la classe ouvrière, des différences entre les associations sportives et culturelles ouvrières et celles liées à la bourgeoisie. Parmi les autres sports ouvriers : la gymnastique, le ski, le vélo. Par contre, le hockey sur glace, qui avait lieu sur des patinoires naturelles (terrain de tennis, marais gelé), n’entrait pas en ligne de compte.
Maxime Challut raconte sa passion pour le football et la manière dont se passait le jeu, les préparatifs, la vie associative et la sociabilité festive (bals, lotos, margotins). Il évoque les valeurs des sportifs ouvriers, le rôle de la compétition, le rapport à l’armée et au service militaire. Il parle brièvement du 9 novembre 1932 et de son refus de participer à l’intervention de l’armée (4 jours de prison) ainsi que de la fabrication de composants d’armes par les industries de la métallurgie genevoise (Charmilles, Hispano, Gardy, SIP).
A divers moments, Maxime Challut parle de son enfance à Lancy, aux Acacias, puis à Carouge, de la maladie de son père (tuberculose), de ses souvenirs d’école et de ses conditions de vie. En fin d’interview, il revient sur son apprentissage et son activité d’électricien aux Services industriels de Genève. Il évoque notamment les conditions salariales au début des années 1930. Il parle aussi des premières cuisinières électriques et des débuts de la radio, qui le passionne.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice
Interview de Maxime Chalut, ancien président du SATUS (1ère partie/2)
Interview de Maxime Chalut, ancien président du club sportif ouvrier SATUS de Genève, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:18:55).
Période évoquée: 1920-1940
Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Maxime Chalut rend compte des activités organisées par la Fédération de football ouvrier SATUS à Genève dans l’entre-deux-guerres (adhésion en 1928). Il mentionne également certaines activités culturelles, dont le Théâtre prolétarien auquel participait William Jaques, les chorales et les fanfares ouvrières dont La Lyre, dirigée par F. Closset. Il parle de son rôle dans l’organisation de la classe ouvrière, des différences entre les associations sportives et culturelles ouvrières et celles liées à la bourgeoisie. Parmi les autres sports ouvriers : la gymnastique, le ski, le vélo. Par contre, le hockey sur glace, qui avait lieu sur des patinoires naturelles (terrain de tennis, marais gelé), n’entrait pas en ligne de compte.
Maxime Challut raconte sa passion pour le football et la manière dont se passait le jeu, les préparatifs, la vie associative et la sociabilité festive (bals, lotos, margotins). Il évoque les valeurs des sportifs ouvriers, le rôle de la compétition, le rapport à l’armée et au service militaire. Il parle brièvement du 9 novembre 1932 et de son refus de participer à l’intervention de l’armée (4 jours de prison) ainsi que de la fabrication de composants d’armes par les industries de la métallurgie genevoise (Charmilles, Hispano, Gardy, SIP).
A divers moments, Maxime Challut parle de son enfance à Lancy, aux Acacias, puis à Carouge, de la maladie de son père (tuberculose), de ses souvenirs d’école et de ses conditions de vie. En fin d’interview, il revient sur son apprentissage et son activité d’électricien aux Services industriels de Genève. Il évoque notamment les conditions salariales au début des années 1930. Il parle aussi des premières cuisinières électriques et des débuts de la radio, qui le passionne.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice