- CH-001784-0 FOBB-D-05
- File
- 11.1953
Part of Fonds de photographies FOBB
Chantier du pont de Lancy plusieurs mois après après l'accident.
[inconnu]
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Part of Fonds de photographies FOBB
Chantier du pont de Lancy plusieurs mois après après l'accident.
[inconnu]
Pancarte sur la prévention des accidents
Part of Fonds de photographies FOBB
Une pancarte évoquant les accidents de chantiers du Vidollet et du pont de Lancy "La justice par la paix absolue du travail. 1/2 jour de grève (chantier du Vidollet), 2 x 1 mois de prison aux ouvriers. 3 morts, 2 estropiés, accident pont de Lancy. Entrepreneur coupable, 2000 fr. d'amende."
Dumoulin, P.
Genève, avenue de la Jonction : chantier de l’usine Gardy
Part of Fonds de photographies Gardy
Vue du chantier de construction de l'usine dite du vélodrome avec des ouvriers.
[inconnu]
Genève, avenue de la Jonction : chantier de l’usine Gardy
Part of Fonds de photographies Gardy
Vue du chantier de construction de l'usine dite du vélodrome avec des ouvriers.
[inconnu]
Interview de Henri Tronchet, ancien syndicaliste de la FOBB (2e partie/2)
Interview de Henri Tronchet, ancien secrétaire syndical de la FOBB, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:11:52).
Période évoquée: 1930-1950
Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Henri Tronchet évoque les activités de la Ligue d’action du bâtiment à Genève au début des années 30 pour faire respecter la convention collective de travail, et en particulier le repos du samedi après-midi. Il évoque les tournées de chantiers, les diverses actions punitives, le sabotage et les conséquences judiciaires dont le procès de Versoix. Il évoque également la fusillade du 9 novembre 1932.
Henri Tronchet mentionne brièvement ses relations avec son frère Lucien, de 13 ans son aîné.
Il rappelle ensuite les luttes pour la suppression des ponts volants et pour une meilleure sécurité sur les chantiers. Plusieurs accidents mortels sont mentionnés. Il parle ensuite d’autres luttes syndicales, comme celle pour le droit à une pause le matin à 9 heures.
Tronchet revient sur son enfance à Carouge, les différences de classe, son apprentissage au début des années 30 et les conditions de travail
Il revient longuement sur les luttes dans le domaine du logement, la démolition des taudis en 1935 à la rue de Cornavin, ainsi que les actions menées avec le Comité des chômeurs contre la saisie des meubles des mauvais payeurs (interposition devant les huissiers – rue rue Masbou, rue Violette -, rachat de meubles à l’Office des poursuites, déménagement à la cloche de bois).
Il évoque brièvement les bagarres entre anarchistes et fascistes de l’Union nationale dans les rues basses, à l’occasion de la vente de leurs journaux.
Tronchet décrit l’évolution du travail sur les chantiers entre les années 1930 et les années 1950 : l’arrivée des premières pelles mécaniques, des premières grues, les briques en ciment. Il revient en particulier sur le chantier des Imprimeries populaires à la rue de Lausanne.
Finalement, il parle du travail syndical, de la manière d’organiser les ouvriers, de la présence quotidienne sur les chantiers. Délégué de la FOBB à l’Office cantonal de conciliation, il évoque ses relations avec les entrepreneurs, notamment avec Induni chargé de construire les ports francs à la Praille.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice
Interview de Henri Tronchet, ancien syndicaliste de la FOBB (1ère partie/2)
Interview de Henri Tronchet, ancien secrétaire syndical de la FOBB, par Alda De Giorgi (Durée totale de l'entretien: 01:11:52).
Période évoquée: 1930-1950
Aperçu des thèmes (Parties 1/2 et 2/2) :
Henri Tronchet évoque les activités de la Ligue d’action du bâtiment à Genève au début des années 30 pour faire respecter la convention collective de travail, et en particulier le repos du samedi après-midi. Il évoque les tournées de chantiers, les diverses actions punitives, le sabotage et les conséquences judiciaires dont le procès de Versoix. Il évoque également la fusillade du 9 novembre 1932.
Henri Tronchet mentionne brièvement ses relations avec son frère Lucien, de 13 ans son aîné.
Il rappelle ensuite les luttes pour la suppression des ponts volants et pour une meilleure sécurité sur les chantiers. Plusieurs accidents mortels sont mentionnés. Il parle ensuite d’autres luttes syndicales, comme celle pour le droit à une pause le matin à 9 heures.
Tronchet revient sur son enfance à Carouge, les différences de classe, son apprentissage au début des années 30 et les conditions de travail
Il revient longuement sur les luttes dans le domaine du logement, la démolition des taudis en 1935 à la rue de Cornavin, ainsi que les actions menées avec le Comité des chômeurs contre la saisie des meubles des mauvais payeurs (interposition devant les huissiers – rue rue Masbou, rue Violette -, rachat de meubles à l’Office des poursuites, déménagement à la cloche de bois).
Il évoque brièvement les bagarres entre anarchistes et fascistes de l’Union nationale dans les rues basses, à l’occasion de la vente de leurs journaux.
Tronchet décrit l’évolution du travail sur les chantiers entre les années 1930 et les années 1950 : l’arrivée des premières pelles mécaniques, des premières grues, les briques en ciment. Il revient en particulier sur le chantier des Imprimeries populaires à la rue de Lausanne.
Finalement, il parle du travail syndical, de la manière d’organiser les ouvriers, de la présence quotidienne sur les chantiers. Délégué de la FOBB à l’Office cantonal de conciliation, il évoque ses relations avec les entrepreneurs, notamment avec Induni chargé de construire les ports francs à la Praille.
Collège du Travail, Genève; producteur/trice
[Genève: Chantiers, manifestation Bata, 1960]
Part of Collection de photographies
Chantiers de l'hôpital de Genève (HUG), à Cointrin et à la route suisse; manifestation devant le magasin Bata.
[inconnu]
[Genève: démolition d'immeubles au quai Turrettini]
Part of Collection de photographies
démolition d'immeubles au quai Turrettini vu depuis le Rhône.
[inconnu]
[Genève: accident de chantier, pont volant]
Part of Collection de photographies
Façade d'immeuble avec pont volant.
[inconnu]
[Lucien Tronchet, discours sur un chantier]
Part of Collection de photographies
Lucien Tronchet s'adresse aux ouvriers lors d'une réunion sur un chantier de la Coopérative des ouvriers du bois et du bâtiment de Genève (COBG) aux Eaux-Vives; dans l'assistance, figurent Max Koller, Wenger, Rosset et peut-être, Gustave Berger.